Le premier cours de combat

Cuauhcihuatl regarda tous ses camarades parler entre eux. Elle fut un peu jalouse de Kualtzin, il semblait que pour elle parler aux personnes était la chose la plus facile au monde, ce que pour elle était le plus difficile. Soudain Cuauhcihuatl sentit une présence. Elle regarda autour d’elle. Elle voyait que Lila, Kualtzin, Matlalcoatl, Xolotl et Iztacoyotl. Elle ne voyait personne d’autre. Cuauhcihuatl ignora cela et recommença à caresser les plumes du quetzal qui était sur son épaule. Cuauhcihuatl essaya aussi d’ignorer Kualtzin qui parlait avec Matlalcoatl. Mais elle ne pouvait pas éviter leur jeter parfois des coups d’œil. Puis Cuahcihuatl commença à se poser des questions. « Citlaltlachtli viendra au cours ? Pourquoi Kualtzin peut parler aux gens sans difficultés ? Que nous quatre participeront au cours de combat ? En combien de temps guérira complétement l’aile du quetzal ? Comment sera le cours ? De quoi parlent Matlalcoatl et Kualtzin ? » Soudain la voix d’Iztacoyotl la fit sortir de ses pensées :

-Bon, après ce long moment pour ce connaitre, je voudrais vous dire ce qu’on va faire aujourd’hui. On va commencer la classe en allant dans un sauna, après on reviendra ici et je voudrais vous expliquer comment est-ce que vont se dérouler mes classes. Pour finir j’ai apporté quelques armes de l’armurerie pour que vous choisissez une et c’est cette arme celle que vous allez apprendre à utiliser d’abord. Dès maintenant je vous dis que je ne me rendrais responsable d’aucun accident qui se passera si vous ne suivez pas mes consignes.

Cuauhcihuatl se dit que ce « long moment pour se connaître » avait été plutôt pour se connaître mieux à elle-même et au quetzal. Maintenant elle savait plus pourquoi elle n’aimait guère Kualtzin. Mais Cuauhcihuatl que le fait de parler à tout le monde et être insolente n’était pas la seule raison. Elle ne connaissait pas encore toutes les raisons mais elle les connaitrait un jour. Cuauhcihuatl n’était pas sure qu’elle arme voulait-elle apprendre à utiliser. Elle déciderait plus tard lorsqu’Iztacoyotl montrerait les armes qu’il avait apporté.

-Xolotl, suivit le maître, je voudrais que tu laisses un mot pour dire à Amaya qu’on sera dans le sauna, si tu veux tu peux l’écrire sur le mur.

L’image de Xolotl en train d’écrire avec ses mains pleines de peinture sur le mur amusa Cuauhcihuatl. Les petites lèvres de Cuauhcihuatl formèrent un petit sourire. En ce moment quelqu’un parla, Cuauhcihuatl posa ses yeux gris sur cette personne.

-Xolotl, voudrais que tu laisses un mot pour dire à Amaya qu’on sera dans le sauna, si tu veux tu peux l’écrire sur le mur. dit Iztacoyotl d'un ton sec.

Xolotl fronça les sourcils,

- ont dit "s'il vous plaît" aussi, eh! -grogna pendans qu'il écrivait... avec ces mains pleines de peinture, qui tachaient tout - princesse arogante, J-Je veux dire, monsieur arrogant! je veux dire, oublier... ah j-juste... oublier se que j'ai dit... - Il se mit à rire nerveusement.

-Ont dit "s'il vous plaît" aussi, eh!

Cuauhcihuatl fixa ses yeux gris sur Xolotl. Le jeune homme plongea ses mains dans un pot de peinture. Les mains blanches de Xolotl devinrent d’une couleur noire. Cuauhcihuatl regarda Xolotl écrire sur le mur de la salle pendant qu’elle passait ses doigts sur le doux plumage du quetzal. Cuauhcihuatl se dit qu’elle devait mettre un prénom au quetzal. Tout ce que Xolotl touchait se teignait de noir. Une fois le message écrit Xolotl se retourna vers Iztacoyotl. Le garçon prononça des mots incompréhensibles et se mit à rire nerveusement. Le quetzal posa ses petits yeux noirs sur Xolotl. Soudain, l’oiseau étendit ses ailes et les battent énergiquement se dirigea vers Xolotl. Surement l’objectif du quetzal était de se poser sur l’épaule de l’assistant du mettre de combat, mais au lieu de ça il frappa la tête de Xolotl le faisant perdre l’équilibre et tomber. Cuauhcihuatl laissa échapper un petit cri lorsque le quetzal tomba au sol, suivit de Xolotl. La fille s’approcha rapidement à eux. Elle prit le quetzal dans ses bras et vérifia rapidement si tout était en ordre. La fille regarda Xolotl, encore tendu dans le sol.

-Je….Je…, balbutia, elle ne savait pas quoi dire. Désolé !, dit-elle rapidement.

Iztacoyotl rougit à cause du commentaire de Xolotl, il ne pouvait pas croire son insolence, il était prêt à lui crier dessus quand il vit le quetzal de Cuauhcihuatl volait vers Xolotl et se frappa contre la tête du dernier, Iztacoyotl fut assez surpris quand les deux tombèrent au sol. Il regarda comment Cuauhcihuatl prenait le petit animal entre ses mains et le vérifiait. Iztacoyotl voulait aussi prendre le petit oiseau et donc il s’avança et le prit sur sa main pendant qu’il caressait ses plumes, il trouvait que l’oiseau était très joli avec ses plumes de différents couleurs qui reflétaient la lumière qui entrait par une des fenêtres de la salle… il était si distrait en regardant l’animal qu’il ne se rendit pas compte des regards des élèves envers lui, quand il en fut conscient, il rougit encore plus, il tendit le quetzal à Cuauhcihuatl et quand il allait s’excuser avec elle, quelqu’un l’interrompu…

Après d'avoir tomber sur le sol a cause d'un quetzal... oui d'un quetzal, Xolotl se trempa completement de peinture noir.
-Je….Je…, Désolé !, dit la fille rapidement.
- MAIS! - criat exaspere, puis il essaya de se lever mais il glissa a cause de la peinture, vitement, il s'est pendu du coud d'Iztacoyotl, en lui tachent le coud et le reste du visage... - désolé. c'est la faute du quetzal homicide! - puis il vit le regard énérvé de Iztacoyotl, - pff... aller ne me dit pas que la princese c'est encore faché là! -il rougit un peu - a-aller ocupe toi du quetzal et la fille qui vient de m'ataquer... ehem...

Avec le quetzal dans les bras, Cuauhcihuatl regardait Xolotl, complètement peint en noir. Le jeune homme essayait de se lever. Cuauhcihuatl ouvrit grand ses yeux. C’était tout de sa faute ! Elle n’aurait dut pas apporter le quetzal avec elle. La fille était prête pour s’excuser à nouveau quand Iztacoyotl s’approcha à elle. Cuauhcihuatl essaya de protéger le quetzal mais Iztacoyotl le prit dans ses bras. La fille attendait le pire sans respirer quand le maître de combat commença à passer doucement ses doigts sur les plumes du quetzal. Tous les présents le regardaient. Iztacoyotl rougit et tendit le quetzal a Cuauhcihuatl. Cuauhcihuatl le prit rapidement dans ses bras.

-MAIS !, s’écria Xolotl, encore dans le sol.

Il essaya de se lever mais il glissa avec la peinture. Il réussit à prendre le bras d’Iztacoyotl. Il peint le visage du maître en noir.

-Désolé. C'est la faute du quetzal homicide!

Le quetzal n’était pas homicide ! Si de quelqu’un était la faute, était celle de Cuauhcihautl.

-Je suis vraiment désolée !, dit-elle. C’est de ma faute ! Ne reprochez pas au quetzal, s’il vous plait. C’était ma faute, je n’aurais pas dut le ramener.

Cuauhcihuatl regarda aux trois autres. Elle voulait partir. Cuauhcihuatll respira profondément pour se tranquilliser. Puis elle se à dirigea Iztacoyotl.

-Si vous voulez vous pouvez m’exclure de votre cours…, lui dit-elle avec ses yeux fixés sur ses pieds. Elle osa son regard brièvement et puis planta à nouveau ses yeux gris sur le sol en attendant une réponse.

Kualtzin regarda autour d'elle, ils étaient que quatre élèves plus Xolotl et le maître de combat. Cuaucihuatl avait un quetzal sur l'épaule. Elle le caressait. Kualtzin se rendit compte quelle ne connaissait pas très bien la jeune fille et commença à la scrupter avec plus d'attention.

À un moment donné, elle vit que l'oiseau quittait son perchoir et fonçait sur Xolotl, qui écrivait le message qu'Itzacoyotl venait de lui dire. Ils tombèrent à terre. Kualtzin ne put éviter de rire tout bas. Le professeur prit à Cuaucihuatl l'animal quelle venait de ramasser.

Xolotl paressait vraiment fâche... Et il accusa le "quetzal homicide".

Quand Cuauhcihuatl entendit cela, elle dit que ce n'était pas la faute de l-oiseau mais la sienne...

Pourtant, maintenant Kualtzin avait autre chose en tête: pourquoi le quetzal était-il partit de cette façon.

Lila était ennuyé. Tout le monde parlait et parlait mais ils ne partaient jamais. Elle s'approcha donc de Matlacoatl et lui dit:

-Et alors Matlacoatl, comment tu la trouves cette Kualtzin ?

Et elle attendit sa réponse. Elle préférait parler avec lui que s'ennuyer avec les autres car, apparament ils ne fessaient que parler de choses inutiles.

Matlalcoatl fut surpris quand Lila lui dirigea la parole. Il croyait qu’elle n’en allait pas le faire après le bal. L’humeur du garçon s’améliora. Mais il ne savait pas quoi répondre à Lila. Peut-être Lila ne le haïssait pas mais c’était clair qu’à Kualtzin oui. Matlalcoatl se rappela du cours d’eau, Lila s’était enfui en courant après avoir crié sur Ameyal. Le garçon réfléchit et choisit bien ses paroles avant de répondre à Lila. Mais à vrai dire, lui-même ne savait pas la réponse. Il décida d’être honnête avec Lila.

-La vérité, Lila, c’est que je ne sais pas exactement comment me parait Kualtzin, lui dit de façon que seulement elle l’entende. Au débout j’avais une bonne impression d’elle.

« Même très bonne impression » pensa le garçon en froncent les sourcils.

-Maintenant je ne sais plus, je pense même que je l’ai sous-estimée très rapidement sans même la connaître. J’ai commis une erreur, je sais. Dès maintenant je prendrais plus de temps pour estimer les personnes. Je pense qu’un peu de temps passera avant que j’aille une opinion sur Kualtzin.

C’était bien vrai ce qu’il disait. Matlalcoatl dirigea un petit sourire à Lila. Puis, soudain, un bruit le fit se retourner. Xolotl était dans le sol, tout couvert de peinture noire. Cuauhichuatl se précipita sur lui et prit le quetzal dans ses bras. Confus, Matlalcoatl regarda toute la scène.

-Si vous voulez vous pouvez m’exclure de votre cours…, dit finalement Cuauhcihuatl.

Matlalcoatl se retourna vers Iztacoyotl. Qu’allait faire le maître ? L’innocence de Cuauhcihuatl fit sourire Matlalcoatl. Elle ne mérité pas d’être exclue du cours, mais bon, la décision n’était pas à lui.

-Je suis vraiment désolée !,- dit-elle. - C’est de ma faute ! Ne reprochez pas au quetzal, s’il vous plait. C’était ma faute, je n’aurais pas dut le ramener..... Si vous voulez vous pouvez m’exclure de votre cours…, lui dit-elle avec ses yeux fixés sur ses pieds...

Xolotl regardait Iztacoyotl avec resentiment, il etait bien énervé mais, il se sentait.... un peu coupable lui aussi, peut être c'etait juste un accident, et maintenant, lui donerune exclusion? elle ne mérité comme même pas celà!

- Ah Non! ont ne peu pas t'exclure pour un erreur si mineur, aller, ne soi pas dramatique ma petite, par contre - l'assistant ne put pas contenir un sourire malicieuse - tu devras venir avec moi après les cours, je vais me charger de te trouver une bonne punition... c'est compris?

pendans qu'il prononsais ces mots a Cuauhcihuatl, il atendait que Iztacoyotl dis quelque chose pour partir enfin vers les eau termales... ehem...

Citlaltlachtli s´était levé assez tard ce jour là, il avait pris une douche et avait mis ses habits… il ne savait pas quoi faire quand soudain il se rappela que le cours de combat commençait ce jour là et que surement Cuauhcihuatl avait pris le quetzal avec elle, ce qui n’était pas sage du tout car le quetzal pouvait être blesse par quelqu’un. Avec cette idée en tête, Citlaltlachtli pris Ayauhtli, qui était encore endormie, dans ses bras et couru vers la salle d’arme.

Quand Citlaltlachtli arriva finalement dans la salle, il trouva une scène assez bizarre : un jeune homme avec les cheveux noirs qui avait de la peinture partout et était pratiquement allongé sur le sol, un autre jeune homme qui avait une tache de peinture sus son visage et sur son bras, Cuauhcihuatl avec le quetzal entre ses mains entrain d’avouer qu’il n’était pas un « quetzal homicide ».

Citlaltlachtli décida donc d’intervenir, il prit Cuauhcihuatl par le bras et la retourna vers lui parler :

-Euh… Bonjour… je viens seulement chercher le quetzal, je ne crois pas que ça soit une bonne idée de l’avoir apporté ici.

Il regarda Cuauhcihuatl avec un regard qui montrait son mécontentement et prit le quetzal entre ses mains. Ayauhtli s’était déjà réveillée et Citlaltlachtli mit le quetzal sur la tête de l’ocelot. Il se retourna mais avant qu’il puisse partit une voix l’arrêta.

Cuauhcihuatl se sentit soulagée. Elle n’était pas exclue du cours de combat ! Mais par contre elle devrait aller voir Xolotl après les cours.

-…c'est compris?, lui demanda Xolotl.

Cuauhcihuatl acquiesça énergiquement avec la tête. Elle vérifia encore une fois le quetzal. Soudain une main se posa sur son bras, un instant après elle se retrouvait face à face avec Citlaltlachtli.

-Euh… Bonjour… je viens seulement chercher le quetzal, je ne crois pas que ça soit une bonne idée de l’avoir apporté ici, lui dit le garçon en la voyant avec une expression de mécontentement sur le visage.

Avant de pouvoir dire quelque chose, Citlaltlachtli lui enleva à Cuauhcihuatl le quetzal des bras. Le garçon se retourna. Cuauhcihuatl l’arrêta avant qu’il puisse s’en aller :

-Citlaltlachtli…

Cuauhcihuatl prit Citlaltlachtli su bras. Les yeux gris de Cuauhcihuatl se rencontrèrent avec les yeux bleus de Citlaltlachtli. Soudain, elle se rendit compte qu’elle n’avait aucune idée de quoi lui dire à Citlaltlachtli. C’était vrai qu’avoir ramené le quetzal au cours de combat n’avait pas été une bonne idée. Elle l’avait ramené car elle ne pouvait pas le laisser tout seul au dortoir de Quetzals. Comme elle ne savait pas du tout quoi dire, Cuauhcihuatl ouvrit grands ses yeux. Puis elle se dit rapidement qu’elle dirait à Citlaltlachtli qu’elle irai chercher le quetzal plus tard au dortoir des Coatl.

-Emm… J’irai...

Cuauhcihuatl ne put pas terminer sa phrase.

Citlali était là depuis le début. Vous ne le savez peut être pas mais quand il ne voulait pas qu'on le voie, il arrivait toujours à passer inaperçu aux yeux des autres, sans tout te fois devenir invisible, évidement. Il vit donc quand Kualtzin entra, quand Lila fit de même ainsi que tous les autres. Personne n'avait encore réussit à le voir. Sauf quelqu'un. L'oiseau. Cet oiseau avait évidement sentit la présence de celui que Citlali avait et ce dernier, avait fait semblant de l’attaquer ce qui provoqua la fuite de l'oiseau de Cuauhcihuatl, et évidement cela n'enchantait pas du tout le jeune espion.

En fait, il était venu pour chercher une certaine Lila qu'on lui avait dit était inscrite dans le cour de combat. Il voulait l'observer pour après pouvoir s'approcher d'elle plus facilement. La raison de tout cela? Eh bien le jeune homme voulait remplir sa mission.
Il avait deviné facilement qui était Lila: c'était la jeune blonde qui se croyait tout permit et qui tournait autour de l'autre jeune homme.

Mais maintenant il y avait un problème: son oiseau avait fait fuir l'autre et il y aurait surement des personnes qui se demanderait pourquoi et qui finirait par l’apercevoir. En plus il ne pouvait laisser qu'on gronde une jeune fille pas sa faute. C'est vrai que c'était le dernier de ces soucis mais en tout cas, il était dans un dilemme.

Après avoir réfléchit pendant plusieurs secondes, il opta pour rester caché. Après tout, il ne lui fallait que trouver une meilleure cachette, où il ne pourrait voir sans être vu. Il choisi un trou dans le toit. De la il y aurait très peu de chance qu'on l’aperçoive: la lumière frappait celui qui regardait dans cette direction, les gens ne levait jamais la vue et en plus il était vêtu de noir, ce qui facilitait la tache.

Une fois le problème de la cachette résolu, il fallait essayer d'arriver à ce hisser jusque là. S'il aurait été seul ce ne serait pas un problème mais ce n'était pas le cas... Il fallait donc se hisser rapidement et discrètement. Les seules personnes qui risquait de l’apercevoir était Matlacoatl, Lila et Kualtzin. Au moins cette dernière semblait perdue dans ces pensées, pensa-t-il.

Il visualisa le chemin qu'il devait emprunter. Une fois qu'il l'eut fait, il compta jusqu’à trois puis avec des mouvements rapides il prit le premier point d’appui. Il continua ainsi en fessant des mouvements fluides et précis. Puis, quand il était sur le point de finir, son pied droit glissa et fit tomber une branche. Elle tomba juste au dessus de Cuauhcihuatl. Catastrophe. Heuresement que son cher oiseau était là car sinon on l'aurait probablement découvert. Pendant qu'Execatl fonçait en piqué vers le bas, Citlali en profita pour terminer son ascension. Une fois en haut il se faufila rapidement dans le trou et analysa la situation.

Jusqu'a présent personne ne s'emblait l'avoir vu. Et son oiseau fesait diversion. Tout allait bien. Il ne fallait qu'espérer que la présence d'un oiseau blanc ne réveillerait pas trop de soupçons.

Xolotl commençait à se sentir vraiment véxé, et puis il voyait que Iztacoyotl ne fessait qu'allonger la situation, il fallait commencer la classe...
Il se leva brusquement.
- bon, arrêtez ce hasard! - criât d'un aire sévère. – Aller ! Tout le monde se range devant moi, vite aller! vite! - il commençait a se sentir véxé a nouveau... "¿un fantôme?".... " Non, c'est de la chère humaine..." -oui même vous M. Citlaltlachtli vous aviez déjà interrompu la clase maintenant vous y rester eh ! Non mais, je rêve ! Vous vous croyais ou ? Et le petit ou la petite insolent qui se cache venez ici immédiatement avant que je m'énerve... –
Il fit un petit signe a Iztacoyotl en signalent le toit...
Il soupirât, il était bien difficile pour lui de s'énerve du a ça patience, mais, il commencer a en avoir assez.

Citlaltlachtli écouta ce que Xolotl disait à toute la clase, mais il ne voulait pas rester pendant toute la clase alors qu’Ayauhtli voulait aller au marché, donc il se retourna vers Xolotl et lui dit :

- Excusez-moi monsieur mais je n’ai pas le temps de rester ici.

Puis il alla vers Cuauhcihuatl lui donna un baiser et partit.

- bon, arrêtez ce hasard! Aller ! Tout le monde se range devant moi, vite aller! vite! oui même vous M. Citlaltlachtli vous aviez déjà interrompu la clase maintenant vous y rester eh ! Non mais, je rêve ! Vous vous croyais ou ? Et le petit ou la petite insolente qui se cache venez ici immédiatement avant que je m'énerve... –

Iztacoyotl s’énerva en voyant comment Xolotl criait à ses élèves, mais il comprit que c’était aussi de sa faute. Il se retourna vers le toit et regarda le point que Xolotl lui avait montrait et puisque la personne qui était là semblait ne pas vouloir descendre, Iztacoyotl fit un mouvement rapide et un morceau de toit tomba près de ses pieds sans toucher le sol. Il regarda le garçon qui était là pendant quelques secondes, il marcha vers Xolotl et lui dit :
-Tu le connais ? Moi je ne lai jamais vu…

Et en attendant une réponse il parla au jeune garçon :

-Bon, petit monsieur… puisque vous êtes ici et puisque vous m’avez interrompu, vous allez rester ici, puis il parla pour toute la classe. Puisque je pense qu’on a déjà perdu beaucoup de temps ici, on ne va pas aller au sauna cette fois.

Les cris de Xolotl empêchèrent Cuauhcihuatl de finir sa phrase. Tant mieux ! Elle ne savait pas du tout ce qu’elle allait dire à Citlaltlachtli. Cuauhcihuatl hausa la vue pour voir ce qui pointait Xolotl du doigt. Il y avait quelqu’un accroché au toit ! Citlaltalchtli la fit se retourner.

-Excusez-moi monsieur mais je n’ai pas le temps de rester ici.

C’étai dommage, Cuauhcihuatl avait bien envie d’être avec Citlaltalchtli. Le garçon s’approcha à Cuauhcihuatl et lui donna un baiser, puis il abandonna la salle. Cuauhcihuatl rougit aussitôt. Elle sentit comme si ses joues bouillassaient. Les autres n’étaient pas cencés à voir ca ! Soudain le bruit du bois se cassant fit que Cuauhcihuatl se retourner brusquement. Tendu aux pies du maître de combat, à quelques centimètres du sol, était un garçon qu’elle ne connaissait pas. Il était vêtu totalement en blanc et ses cheveux étaient noirs.

-Bon, petit monsieur… puisque vous êtes ici et puisque vous m’avez interrompu, vous allez rester ici, dit Iztacoyotl en se dirigeant au jeune homme. Puis il parla à toute la classe : Puisque je pense qu’on a déjà perdu beaucoup de temps ici, on ne va pas aller au sauna cette fois.

Cuauhcihuatl, encore avec les joues rouges, jeta un coup d’œil vers ses camarades.

Citlali était dans son trou, entrain d'observer, tout d'un coup Xolotl l'assistant du maître de combat le signala "Mais comment à t'il pu savoir où je me trouve bon sang???" Il ne comprenait pas. De toute façon tout était raté. Il valait mieux se dévoiler à présent. Il n'eut pas de temps de bouger, qu'il sentit qu'on enlevait le morceau de bois qui le soutenait. Il tomba donc. Néanmoin, étant de nature agile, il tomba debout, comme l'aurait fait un chat. Il se redressa le temps qu' Itzacoyotl lui dise:

-Bon, petit monsieur… puisque vous êtes ici et puisque vous m’avez interrompu, vous allez rester ici.Puisque je pense qu’on a déjà perdu beaucoup de temps ici, on ne va pas aller au sauna cette fois.

Citlali n'en fut pas troublé, il était plutôt bon dans le maniement des armes et il était excellant dans celui de l'arc. Un archer hors pair. Il se retourna donc et alla dans un coin, là où il avait déposé son arc au début du cours. C'était un bel arc, taillé dans le meilleur bois et orné de petites spirales. Son étau, était fait en cuir et orné de la même façon. Il dit donc au maître de combat:

-Bonjour monsieur Itzacoyotl. Je veut bien faire partie de ce cours même si je ne m'y suis pas inscrit. Seulement j'aimerais m’entraîner sur l'épée et l'arc, évidement si vous le voulez bien.

Enssuite il se retourna vers Cuauhcihuatl et la fixa de ses yeux violets. Sans raison. Au bout d'un moment, il se retourna et alla se mettre dans le rang que Xolotl essayait de faire. Il y attendit Lila.

Kualtzin se retourna et vit que Xolotl désignait le toit. Intrigué elle y regarda. Mais n'y vit rien. Itzacoyotl s’approcha et y arracha un morceau. Un jeune homme en tomba. Elle ne se souvint pas de lui. Et pourtant elle était sure qu'elle le connaissait.

-Bon, petit monsieur… puisque vous êtes ici et puisque vous m’avez interrompu, vous allez rester ici.Puisque je pense qu’on a déjà perdu beaucoup de temps ici, on ne va pas aller au sauna cette fois.

-Bonjour monsieur Itzacoyotl. Je veut bien faire partie de ce cours même si je ne m'y suis pas inscrit. Seulement j'aimerais m’entraîner sur l'épée et l'arc, évidement si vous le voulez bien.

Soudain, elle se souvint qui c'était! C'était l'élève qui était entré dans le bureau de Chipili et qui l'avait fait sortir! Il se dirigea vers le rang que Xolotl esseyait désespérément de faire. Elle se mit à côté de lui. Il était habillée en noir et ses cheveux était de la même couleur. "Beau garçon" se dit elle.

Matlalcoatl observa tout sans dire aucun mot, de même que Lila et Kualtzin. Matlalcoatl comprit l’énervement de Xolotl, on peut dire même qu’il le partageait avec lui ! Le garçon commençait à avoir mare. Quand allait commençait le cours ? Matlalcoatl se dit que peut-être pas ce jour-là après l’interruption de ce garçon aux cheveux châtains et le mystérieux individu du toit. Matlalcoatl avait entendu Cuauhcihuatl appelé le garçon « Citlaltlachli », mais il n’était pas sûr. Citlaltalchtli partit avec le quetzal de Cuauhcihuatl dans les bras après lui donner un baissé à celle-ci. Las joues blanches de Cuauhcihuatl devinrent rouges. Puis Iztacoyotl fit descendre l’espion du toit. C’était un jeune garçon, il devait être trois ou deux ans plus grand que Matlalcoatl. Maintenant Iztacoyotl avait un autre élève et avait failli avoir un autre : Citlaltalchtli. Xolotl essayait de faire un rang. Le nouvel élève alla se ranger, suivit de Kualtzin. Au moins il semblait que le cours allait commencer ! Quand Iztacoyotl dit qu’ils n’iraient plus aux eaux thermales, Matlalcoatl maudit pour soit même. Si quelque chose pouvait le relaxer en ce moment était l’eau. Plonger dans l’eau. Sentir se contact entre ce liquide vital et son corps. Matlalcoatl soupira. Mais quand il pensa en l’eau… Il se retourna vers Lila :

-Est-ce que je peux te poser une question ? Ne répond pas si tu ne veux pas mais… Pourquoi es-tu partie en courant lors du cours d’eau ?

Matlalcoatl regarda rapidement Lila aux yeux.

Lila était très confuse. Elle ne comprenait pas pourquoi un garçon était tombé du toit ni même pourquoi la classe ne commençait pas. Elle décida donc de s'approcher du nouveau venu et de lui réclamer sa présence:

- Qui ta donné la permission toi de venir dans notre classe. Tu ne faisais que nous espionnait n'est-ce pas ? Tu est vraiment incroyable ! Et puis le pire de tout tu ne t'excuse pas. Quelle méchanceté !

Lila était fière de ce qu'elle avait dit. Ce garçon n'avait rien à faire ici. Il ne faisait qu'interrompre la classe pour qu'elle ne commence pas. C'est donc pour cela que les professeurs n'en pouvait plus.
Matlacoatl (la seule personne normale dans la classe) lui dirigea la parole:

-Est-ce que je peux te poser une question ? Ne répond pas si tu ne veux pas mais...Pourquoi es-tu partie en courant lors du cours d'eau?

Elle lui répondit donc d'une voix tellement basse que l'on n'aurait pas cru que c'était elle:

-Je suis partie car comme tu verras, je ne suis pas parfaite, comme tu le vois, et tout le monde me déteste, je le vois bien et tout les problèmes ont toujours à voir avec moi.


Et en ayant prononcé le dernier mot elle laissa coulé une larme sur sa joue.

Les paroles de Lila surprirent Matlalcoatl. Lorsque cette larme s’échappa des yeux de Lila, quelque chose, dans son cœur, poussa Matlalcoatl à l’entourer avec ses bras. Il s’oublia du cours de combat un moment. Il caressa les cheveux de Lila.

-Oh, Lila ! Ne dis pas ça. Et s’il te plaît ne pleure pas, lui dit doucement à l’ouïe. Ne t’accuse pas coupable de tous les problèmes. Non, tu n’es pas parfaite, mais personne ne l’est. Et je ne crois pas que tu sois détestée par tout le monde.

Matlalcoatl fit une pause et puis il ajouta en voix plus basse :

-Je ne te déteste pas. Mais je comprends si tu me détestes après tout ce qui s’est passé au bal. Moi-même je me déteste un peu, mais pas à toi, Lila.

Matlalcoatl aurait préféré lui dire à Lila tout ça dans un endroit qui ne soit pas la salle d’arme ni pendant le cours de combat. Mais bon, c’était maintenant ou jamais. Peut-être qu’il n’aurait pas d’autre opportunité.

Lila apprécia les mots de Matlacoatl. Il était si doux et précieux pour elle. Il avait peut être raison sur ce qu'il disait. Et être entre ses bras la réconfortait tellement. Elle lui répondit donc:

-Je ne te déteste pas Matlacoatl. Je t'aime. Merci por tout ce que tu fais pour moi. Tes mots me réconfortent.

Après avoir parler, Lila serra fort Matlacoatl contre elle comme si c'était la dernière fois qu'elle le verait.

Citlali commençait à en avoir asser, s'ils voulaient vraiment apprendre quelque chose ce jour là, il fallait faire avancer les choses. Citlali, comme toujours, agit sans penser: il prit les devants et dit:

- Bon, honnêtement, si vous voulez faire quelque chose aujourd'hui, il faut cesser les petites déclarations, il jeta un coup d'oeil du côté de Lila. On va se mettre en rang, deux par deux, comme on nous l'à appris quand nous étions tout petits. Ce n'est pas si difficile! En plus, si on ne le fait pas, le pauvre assistant du maître de combat va exploser!

Puis, comme il voyait que personne ne bougeait il prit Matlacoatl, et Kualtzin pour les mettre en rang. Il prit enssuite Cuauhcihuatl et Lila et les plaça à l'arrière. Il se plaça devant. Il avait bien sur fait exprès de ne pas mettre Lila avec Matlacoatl, ni avec Kualtzin.

Après avoir fait le rang que Xolotl essayait de faire depuis une éternité, il dit au maître de combat avec un sourire ironique:

- Maintenant, vous pouvez nous emmenez où vous voulez.

Kualtzin observait Matlacoatl et quand il vit son air perturbé quand Lila laissa tomber une larme, un sourire apparut sur le coin de ses lèvres. Mais par contre elle ne s'attendait pas du tout à ce que fit Citlali. "Avec lui, on ne sait jamais à quoi s'attendre!" pensa-t-elle.

- Bon, honnêtement, si vous voulez faire quelque chose aujourd'hui, il faut cesser les petites déclarations, il jeta un coup d'oeil du côté de Lila. On va se mettre en rang, deux par deux, comme on nous l'à appris quand nous étions tout petits. Ce n'est pas si difficile! En plus, si on ne le fait pas, le pauvre assistant du maître de combat va exploser!


Elle était sur le point de protester, de dire que ce n'était pas lui le maître quand il arriva et la prit par le poignet. Elle tenta d'enlever son poignet, de se dégager, mais il était bien trop fort. Il la mit dans un rang improvisé à côté de Matlacoatl. "Quelle coïncidence!". Elle se tourna vers Matlacoatl et fit un sourire mit sournois, mit sadique. Il était chargée de sens ("Décidément, tu ne te défera pas de moi si facilement!") et elle était sure qu'il l'avait compris.