C'est ainsi que se rencontrent trois âmes en peines. Certains appellent cela des professeurs [Pv Meztli et Xolotl]

Comment vous expliquer l'état dans lequel se trouvait notre héroïne?

Ayili rôdait dans l'académie depuis plusieurs jours, à la recherche d'elle ne savait quoi. Comme un fantôme, elle vagabondait à droite à gauche, enchaînant des cours avec ses élèves, des repas dans la grande salle, des nuits solitaires dans ses appartements et de longues promenades dans les couloirs de l'académie. Elle était seule la plupart du temps. Ce n'était la faute à personne, bien qu'un peu la sienne surement, mais elle ne s'était liée à personne. Professeurs ou élèves, la jeune femme n'avait personne avec qui échanger quelques mots, bavarder un peu au moment du repas ou entre deux cours, lors d'une rencontre dans les couloirs. Non, personne. Peut-être était-ce à cause de ses multiples disputes avec le directeur de l'académie. Qui souhaitait se mettre un directeur à dos? Personne. Dans ce cas, pourquoi aller parler à une jeune femme aux cheveux blancs, à l'air froide et sévère et qui ne cessait de se disputer avec lui? Aucune raison valable. Cela dit, Ayili devrait être habituée à n'avoir personne à qui parler. Non, faux. elle avait toujours eu quelqu'un. Que se soit son frère, puis la fille des voisins, et enfin Zaile, la jeune femme n'avait jamais été aussi seule qu'aujourd'hui. Alors elle rôdait dans les couloirs, comme une âme en peine, ectoplasme de ce qu'elle avait pu être. Elle perdait de sa vitalité, de son envie de vivre. L’atmosphère ne lui allait pas. Bref... elle traversait une période pas très simple, que certains nomment dépression, d'autres disent juste que ça va passer, et les derniers observaient sans rien dire du tout. Pour Ayili, c'était surement un mélange des trois. Une dépression qui va passer, mais il ne faut rien dire ou on se fait remarquer.

Aujourd'hui, ne sachant que faire de sa journée, la jeune femme déambulait sur la terrasse, déserte à cette heure de la soirée, la plupart des professeurs se trouvant dans la grande salle à dîner tranquillement. Ayili n'avait pas faim. Elle n'avait pas non plus envie de se retrouver au milieu de tant de monde dans un brouhaha impossible. Un léger vent caressait son visage, tentant d'emmener ses cheveux avec lui sans y parvenir. Elle adressa un sourire à la bise, le premier depuis longtemps. La jeune femme glissa une main dans sa poche pour y trouver une unique balle de jonglage qui saisit entre ses doigts pour la faire courir le long de la paume et de son poignet, jouant habilement avec.

Attendant que le temps passe.

Xolotl se baladais dans l'academie, il etait pasible mais confondu, il avait surement des problemes pour se communiquer, mais il essayer de se convaincre que cela serait quelquechose de pasager, et peut être pas si mauvais que cela. Il decida de monter a la terasse de toute façon, pour se détendre et oublier ces problèmes et préocupations... pour admirer la nuit qui le calmait, en s'éloignant des autres, ou plutot les autres s'éloignaient de lui. Se fut à cet instant qu'il aperçut sur la terasse à une jeune femme aux cheveux blancs. Il la regardait pensif, pendant qu'elle regardait une balle de jonglerie. Xolotl voulait lui parler, mais nosait pas la déranger, alors il se fit un peu invisible et s'assayat lentement à côté d'elle pour l'observer sans oser lui parler. il sourit un peut, c'etait une femme vraiment tres belle et interesante a simple vue, mais xolotl c'est aperçu qu'elle avait l'aire éteinte et peut être sans esprit. Alors il s'approcha encore plus à elle et avec un voix faible et douce lui dit :

- Bonsoir madame, ça vas ?

Il sourit un peux pendant qu'il jouait avec ses cheuveux qui etaient deja trop long pour lui, mais ceci était parfait pour cette situation puisqu'ils couvraient un peux son visage.

Meztli venait d'arriver à l'académie et marchait un peu partout. C'était une territoire vaste et complexe pour elle. Elle vagabondait un peu, appeuré de l'obscurité et silence. A cause d'un caillou, elle tombat sur une porte et l'ouvrit. Celle ci menait à une terrase ample ou elle vi deux silouhettes. Celles ci parraissaient immobiles et lointaines. Elle les regarda en silence jusqu'a ce qu'elle entendit une parler :

- Bonsoir madame, ça vas ?

"Un homme?" pensat-elle. Elle était intrigué et songé de qui pouvait-il s'agir. "Parler? Rester en silence? Rester? Partir?" Elle se le demandait sans avoir aucune raison. Après quelques instant, comme un chat, elle décida se glisser non loin la personne qui avait parler. Elle les regardat longuement. Le garçons avait l'air jeune, Meztli aurait pu croire qu'il s'agissait d'une femme s'il n'avait pas parler. Comment le décrire ? L'autre personne parraisait être une femme, elle ne pouvait pas le savoir puisqu'elle ne voyait que son dos. Elle la trouvait mignogne et même intérréssante, mais ce qu'elle aimait le plus d'elle était la couleur blanche de ces cheveux qui brillait comme l'argent sous le clair de la lune.

- Miau ? dit Meztli par accident. Ce silence qu'elle avait brisé à nouveaux lui était confortable et surtout familier.

Ayili sursauta et se retourna vivement, interrompue dans sa rêverie par une voix grave et calme. Elle n'avait entendu personne s'approcher, et pourtant, face à elle se trouvait un... homme? Oui, un homme assez étrange. Son regard sombre semblait avoir plus de mille ans alors que son corps frêle, chétif, presque féminin, lui en donnait à peine vingt. Ses cheveux, aussi noirs que les plumes du corbeau, ne faisait que mettre en valeur la pâleur de son visage fin. Ayili le fixa un long moment, sans rien dire, ne sachant pas vraiment si l'étrange personne qui lui faisait face était réelle ou bien si elle n'était que le fruit de son imagination. A l'instant où elle décida que l'homme en face d'elle existait réellement, un miaulement de chat se fit entendre. Lentement, craignant que le bestiole s'en aille si elle faisait un mouvement trop brusque, Ayili se tourna tout doucement. Elle fut déçu en constatant que ce n'était pas un chat qui se trouvait sur la terrasse, mais un troisième personnage. Une jeune femme, plus grande qu'elle, ses longs cheveux teintés de rose cascadant jusqu'à ses hanches et ses yeux la perçant d'un regard bleu vif. Malgré l'aspect inhabituel des nouveaux venus, Ayili conserva le masque d'impassibilité qui était toujours le sien. Elle demanda:

-Qui êtes vous? Vous savez que seuls les professeurs sont autorisés à venir sur cette terrasse?

Attendant la réponse de l'un ou de l'autre, voir des deux, la jeune femme leur tourna le dos pour s'appuyer sur la rambarde de pierre et observa d'un oeil vague la nuit qui tombait sur les jardins.

Pleine de curiosité caché, Meztli s'approcha de peu d'Ayili et se coucha sur la ramparde de pierre regardant les étoiles, puis la jeune fille. Elle avait une balle de jonglage qui dansait entre ces mains. La tentation fut trop grande et tanta de s'approcher à elle mais s'aréta soudainement. Les mains d'Ayili étaient pleines de bléssures, ce qui lui donna un peu de tristesse.

- Maitre soigneur. repondit Meztli simplement.

Elle était habituée a toujours vouvouyer les autres à cause de ces parents, et arrivé rarement a dire "tu". De même son amour envers le silence l'obligé en quelque sorte à dire que le nécéssaire. Elle se retourna après vers le jeune garçons qui l'inquiété avec ces petits yeux noir. Il était blanc et avait l'air si délicat. Elle voulut le toucher, mais se retint par peur de le casser. Son visage lui rappelait vaguement sont ancien maitre. Elle essaya de sourire mais le visage lui fit mal. "Pourquoi ..."

- Qui êtes vous? Demanda t-elle aux presents, la curiosité était grande.

Elle voulait savoir avec qui elle aurait a faire pendant le temps a suivre ...

Xolotl regarda la jeune femme fixement au yeux, si elle n’aurait pas dit cette phrase il pourrais bien croire qu’il s agisser d’une élève, tellement il la voyait fine, et mignonne. Avant de rien dire, il écouta un miaulement, il se retourna vers son dos, ce n’était pas un chat, c’était une femme, une femme a longs cheveux roses, il contenu un rire, ce n'était pas un rire de dérision, mais un rire de joie, une joie irationnel que lui venait de produire cette femme, il fit une petite reverence pour la saluer, pendans qu' il se demander pour quoi cette fille au cheveau roses le regarder tant, puis il entendit la dame au cheveaux blancs dire :
-Qui êtes vous? Vous savez que seuls les professeurs sont autorisés à venir sur cette terrasse?
puis l'autre femme, repondit tout simplement:
-maître soigneur, qui etes vous ?
Xolotl soupira tout simplement et répondit avec le même ton de voix
- je suis l’assistant temporel de Iztacoyotl, et peut être dans le futur, je serais le maître de peinture, je suis nouveau alors c’est normal personne sais qui je suis. - il sourit a nouveau en essayant d’être encore plus gentil et poli, dans la nuit parfois il se sentait plus confortable avec lui même, mais avec tout les accusations d’être venu de l’inframonde, les personnes tendent a être moins tolèrent avec lui dans la nuit, alors pour ne pas répeter cette experience, il essayait d’etre calmé pour ne pas les l’effrayer, en plus les deux le regardent d’une maniere particulière,
« je ne sais pas si elles me voient comme ça car elles ont peur de moi, mais si elles continuent a me regarder comme ça selui qui finira avec peur sera moi… » pensait Xolotl puis il se retourna vers la dame au cheuveux blancs
- Et vous ? vous êtes bien un Maître aussi non ? – il observa la balle entre ces longs doits, - vous êtes la maître de jonglerie ?

La première a offrir sa réponse à Ayili fut la jeune femme aux cheveux roses nacrés. Ainsi, c'était la nouvelle maître soigneuse. Parmi les rumeurs qui parcouraient en tous sens les couloirs de l'académie, Ayili avait entendue celle qui parlait de l'arrivée d'un maître soigneur aux cheveux encore plus étrange que ceux du maître acrobate, mais elle n'y avait pas cru. Pour une fois, elle aurait peut-être du. Une esquisse de sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme, fruit de l'ironie que peuvent parfois être les évènements. Pour une fois qu'elle ne croyait pas à une rumeur, celle-ci se révélait être vraie.

La réponse que donna le jeune homme efféminé fit frémir de rage la jeune femme. Le fait que le nouvel assistant du maître d'arme n'ait pas obtenu le post qu'il souhaitait ne pouvait qu'être un coup du détestable Chipili. Mais comment pouvait-on être aveugle au point de donner à une personne qui semblait aussi frêle et fragile que le jeune homme le poste d'assistant du maître d'arme? Pourtant, il était évident que le garçon au teint d'ivoire n'était pas taillé pour se battre. Le directeur de l'école avait joué au même jeu avec Ayili, en lui confiant un poste de domestique, lui laissant ainsi nettoyer toute l'académie seule pendant plusieurs longues journées. A se souvenir peu réjouissant, la jeune femme serra les doigts autour de sa balle, ne relâchant la pression que lorsqu'elle fut calmée. Elle examina pendant quelques instants les marques que ses doigts avaient imprimés sur l'objet avant de se retourner pour répondre:

-La maître acrobate, plus précisément. Je suis Ayili, première arrivée dans cette pseudo-prestigieuse école et j'espère, la première à en repartir. Le pus tôt sera le mieux, mais... trouver un travail n'est pas simple, par les temps qui courent.

Elle plongea son regard noisette dans celui, sans âge, du jeune homme:

-J'espère que vous obtiendrez rapidement le poste que vous souhaitez. Mais sachez que c'est l'un des jeux préféré de Chipili, de faire attendre et de tester la patience. Je n'ai pas tenue très longtemps au poste qu'il m'avait confié, et pourtant, je suis toujours dans cette école. A votre place, j'irais le voir et je m'imposerais.

La jeune femme repensa a l'ordre que sa rébellion lui avait valu: préparer le bal de l'académie avec pour tout budget une petite bourse de pièce d'argent. Elle n'avait pas pu refuser et de multiples difficultés s'étaient présentées à elle. Heureusement, la date était maintenant fixée, tout était prêt ou presque. Seuls quelques menus détails restaient à régler. Revenant sur ses paroles, Ayili continua:

-En fait non, ne m'écoute pas ou tu te retrouveras avec une tâche pénible à accomplir. Je ne peux pas te dire laquelle, mais moins elle te conviendra, plus Chipili sera content.

-La maître acrobate, plus précisément. Je suis Ayili, première arrivée dans cette pseudo-prestigieuse école et j'espère, la première à en repartir. Le pus tôt sera le mieux, mais... trouver un travail n'est pas simple, par les temps qui courent.
Xolotl regardait Ayili pendans qu'elle parlait, Elle avait l’aire extrêmement exaspérée pendants qu’elle prononcer ces mots, il se demander que fessait cette académie si agaçante pour cette dame, alors qu’il entendit dire : -J'espère que vous obtiendrez rapidement le poste que vous souhaitez. Mais sachez que c'est l'un des jeux préféré de Chipili, de faire attendre et de tester la patience. Je n'ai pas tenue très longtemps au poste qu'il m'avait confié, et pourtant, je suis toujours dans cette école. A votre place, j'irais le voir et je m'imposerais.
Maintenant Xolotl comprenait, elle avait surement beaucoup de problèmes avec Chipili, il se demandait si vraiment Chipili était une personé si ennuyante ou bien méchante mais il se garda ces penses pour lui -En fait non, ne m'écoute pas ou tu te retrouveras avec une tâche pénible à accomplir. Je ne peux pas te dire laquelle, mais moins elle te conviendra, plus Chipili sera content.
Surement Ayili c’est révélée contre chipili causant plus de rivalité entre eau. Il pensa alors ce problème,
Xolotl était pas bon dans le combat, mais il savait quelques choses, c’était pas un travaille qu’il souhaité non plus, mais il savait bien que c’était temporelle… il regarda la jeune femme à nouveau, il voudrait l’aider ou quelque chose, mais, il n'était pas sur, il venait de la connaître, et il n'était pas très social, alors il décida de premièrement, lui parler sincèrement partager... ses penses, ou bien un conseil?
finalement il se mit a parler,
- je vois… - dit il en vois baisse en réfléchissant encore a les mots de la femme, et regardant le sol – la patience est un arbres de racines amères, mais de fruits très doux… Alors, j’essayerai de être patient et de effectuer mon mieux, en fait, je n’est pas de raison a m’imposer si c’est bien temporelle, et si c’était bien moi qui l’est demander d’entrer dans sont académie… mais je verrais alors, en plus je voudrais donner des conseilles au élèves et à Iztcoyotl sur des réflexions qu’il faut faire avant les combat, comme vous voyez, je ne suis pas fort, ou bien habile mais je veux précisément profiter de cette occasion pour luis enseigner bien le plus important dans un combat et bien dans la tête… – puis il soupirât et la regarda a nouveau – Et… bon si vous n’aimer pas cette académie, pensais aussi a ce que j’avais dit, et penser que La vie a son côté sombre et son côté lumineux; à nous de choisir ce que nous aimons. – il sourit – peut-être si vous Fesser cette l'idée, vous trouver bien des choses qui vous rempliront de bonheur… pendants que vous étiez coincé dans cette académie… -puis il regardât Meztli a Nouveau - et puis si quelqu’une a des problèmes, je pourrait bien essayer de vous aider avec goût…

il s'est etiré en profitant la brise et puis il commença a jouer avec ses cheveaux entre ses mains...
En attendant d'une réponse.

Meztli écouta paciament le discour du maitre de jonglerie et de l'assitant du maitre de combat. Elle fut surprise par la rencune et peut être la haine que celle ci éprouvait envers Chipili. Elle essaya de comprendre ces sentiments mais n'y arriva pas. Pour elle, il était un viel homme sâge et de bonnes intentions après tout. "La pacience est une vertu que peu de personnes possèdent". Elle fut aussi suprise de l'amabilité de Xolotl, même en étant un homme, il avait la gentillesse et l'apparence de femme.

- Je peux dire de même ...

Dit Meztli pour répondre au discour de Xolotl. Elle voulut adresser la parole au maitre de jonglerie mais n'osait pas. Elle sentit un vent léger soufler et remonta sur la ramparde en pierre. Elle sentait qu'elle pouvait voler et ateindre les étoiles du ciel comme sa soeur le faisait.

- Mais voler n'est pas la même chose que sauter n'est ce pas ?

Elle s'appréta à sauter mais regarda les deux autres maitres.

- La nuit est trop belle pour parler de choses qui nous sont désagréables ... Il vaudrait mieux la peine faire autre chose non ?

Sans le voulir elle avait dit ces pensées à voix haute et se retourna inmédiatement après avoir terminée.

- Non non ce n'est rien ... Je n'ai rien dit ...

Meztli rit une dernière fois pour enlever la pesanteur de l'ambiance qui les entouraient.

Ayili écouta attentivement la réponse que lui donnait Xolotl. Malgré une apparence peu commune, le jeune homme semblait très gentil. Profondément. La maître acrobate lui adressa un minuscule sourire, le premier depuis trop longtemps. Elle pensa quelques instants à ce qui lui plaisait dans cette école, comme le lui conseillait le jeune homme. Il y avait ses cours avec ses élèves, bien sûr! Et puis, le fait de ne plus avoir à se soucier de l'argent, de ne plus être terrifiée avant chaque représentation sans pouvoir le montrer. Il y avait ses appartements aussi, qui changeaient beaucoup de la tente dans laquelle Ayili vivait auparavant et dans lesquels elle s'était tout de suite sentie comme chez elle. Et quelque chose qui la ravissait, la rendait heureuse, n'avait pas changé: elle était libre de ses mouvements, de ses responsabilités. Libre d'aller où elle voulait quant elle le voulait.

Alors pourquoi se morfondre à cause d'un supérieur tyrannique si tout le reste allait bien? Il lui suffisait de l'éviter, de faire en sorte de le croiser le moins possible. De vivre sa vie de son côté. Ravie d'avoir trouvé la solution à son problème, Ayili joua avec sa balle de ses doigts habille, la lançant et la rattrapant avant de la faire disparaître d'un mouvement de poignet pour la récupérer dans l'autre main. Elle adressa un remerciement silencieux au jeune homme à ses côtés, trop fière pour le lui dire en face. Les paroles de Meztli participèrent à sa bonne humeur retrouvée. La jeune femme se tourna vers les deux maîtres et répondit:

-Tu as raison. Voler, c'est partir pour ne revenir que lorsqu’on le voudra. C'est voyager dans le ciel pour visiter les nuages et se poser sur la lune. Sauter, c'est faire semblant de voler le temps d'un instant, pour avoir la sensation de toucher le ciel, juste avant de retomber sur terre. Et comme les hommes ne peuvent pas voler, ils essayent de sauter toujours plus haut pour se sentir libre. C'est pour ça que je fais ce métier.

Ayili lança une nouvelle fois sa balle dans l'air de la nuit, comme pour illustrer son exemple. Elle sourit à la lune et annonça:

-Tu as raison, cette nuit est trop belle pour rester ici à parler de nos tourments. Que diriez-vous que je vous montre un endroit secret?

-Tu as raison. Voler, c'est partir pour ne revenir que lorsqu’on le voudra. C'est voyager dans le ciel pour visiter les nuages et se poser sur la lune. Sauter, c'est faire semblant de voler le temps d'un instant, pour avoir la sensation de toucher le ciel, juste avant de retomber sur terre. Et comme les hommes ne peuvent pas voler, ils essayent de sauter toujours plus haut pour se sentir libre. C'est pour ça que je fais ce métier.

Xolotl écouta les paroles de Ayili, un peut plus calmée, il pensa donc a ces deux Professeures qui avait comme compagnie, il observa un peut ces réactions calmé de la part des deux femmes et puis, c'était rare, elles avaient l'aire aussi solitaires comme lui. « Peut être elles sont comme moi, solitaires et peut sociales, alors, ça voulait dire que une personne solidaire et bizarre alors était bienvenu entre les personnes ... bizarres? »Comme une portée de chatons?
Alors Ayili lança une nouvelle fois sa balle dans l'air de la nuit, en sortant Xolotl de ses pensés... Elle sourit à la lune et annonça :

-Tu as raison, cette nuit est trop belle pour rester ici à parler de nos tourments. Que diriez-vous que je vous montre un endroit secret?

Xolotl regarda Ayili puis Meztli en attendant qu'elle réponde, il fessait toujours ce si, quand il avait une question général il attendait toujours que les autres réponds pour lui, mais quand il vit Meztli peureuse en fessant exactement la même chose que lui, il pensa a nouveau a sa philosophie, oui Meztli était timide comme lui, il trouva se si … Bien très… sympa ?
- sa pourrait être intéressant, - lui répondit finalement - pour quoi pas!