Je pensais à ma soeur dans le marché.

Cipactli marchait seul comme d'habitude dans les alentours du marché, c'était un des endroits ou il pouvait se sentir alaise. Les personnes, les bruits, les odeurs, tout cela lui fessait se sentir un petit peu moins seul, il sentais qu'un jour il pourrait être comme ces personnes, c'est a dire avoir une famille des amis, trouver sa sœur qu'il aurait trouvait il y a long temps mais il ne savait point comment rentrer dans l'académie, il n'était pas bon avec les mots et il ne savait pas que faire pour rentrer, peut être il dirait quelque chose offensive et perdrait l'opportunité de rencontrer sa sœur.
Alors comme d'habitude il décidât se faire un tour dans le marché, peut être ce jour là, sont monotone destin changerais ...
Il s'approchât à un petit stand de nourriture sans beaucoup d'intérêt en pensant si devenir marchand serait une bonne option comme nouvelle vocation, il éviterais de se battre comme il le fessait souvent et il gagnerait peut être beaucoup d'argent pour sa sœur.
Soudain, il sentit un coup de pied derrière lui.
- Fais attention! - criât le jeune garçon et il poussât cette personne fortement sans même voir de qui s'agissait.

Yoltic était sorti de l’académie, pour avoir un changement d’air. Il avait parcouru les ruelles en quête d’une personne connue ou amie. Plusieurs filles l’avaient reconnu et étaient allaient tout de suite à sa poursuite. Yoltic avait fui vers le marché. Une fois sans les filles derrière lui il commença à se promener entre les couloirs du marché. Qui le savait ?

-Peut-être je retrouverai ma sœur…, se dit Yoltic en voix base.

Yoltic marchait avec des pas lents en donnant des coups de pied aux petites pierres sur le chemin. Il regardait le sol. Parfois il se retourner pour voir les marchandises et les autres personnes. Son regard resta posé sur un garçon aux cheveux noirs et bouclés. Yoltic pensa qu’il s’agissait de son frère. Il le suivit du regard pendant qu’il continuait à marchait. Il vit d’un coin de son œil une pierre, Yoltic se prêtait à lui donner un coup de pied plus fort qu’aux autres, mais son pied cogna contre autre chose.

- Fais attention!, lui cria quelqu’un et senti comment on le poussait.

Yoltic dévia son regard de celui qui semblait être son frère pour le poser sur un garçon qui se tenait débout devant lui. Il était plus petit que lui et avait un regard et visage enfantin.

-Oh, excuse-moi, gosse, dit Yoltic distrait.

Il se sépara du garçon, il allait reprendre sa marche quand on l’interpela à nouveau.

-Oh, excuse-moi, gosse, - dit le tipe qui venait de lui faire un coup de pied.

Cipatli ne put pas croire ce qu'il venait d'écouté, se mec venait de lui dire "gosse" Cipatli n'était plus un gosse! comme même!
Il sentit la rage, plus avec son complexe de se sentir petit. Il attrapât son collier et le descendit d'un coup pour le voir face à face.

- Gosse? GOSSE? comment tu ose me dire "gosse" gros mec! Tu ne sais même pas qui je suis!

Et il se prépara pour lui donner un fort coup de poing dans le visage quand ...

Yoltic vit comment le garçon prit le col de sa chemise, puis il était juste face à face avec lui. Les yeux verts de Yoltic se rencontrèrent avec une paire d’yeux couleur miel. Une paire d’yeux visiblement en colère.

- Gosse? GOSSE? comment tu oses me dire "gosse" gros mec!, s’écria le garçon.

Yoltic haussa un sourcil et le regarda, confus et surpris.

- Tu ne sais même pas qui je suis!

Yoltic éclata de rire. Ce garçon ne devait pas avoir plus de quatorze ans !

-Non, je ne sais pas qui tu es, réussit dire Yoltic entre des fous rires.

Il prit le poignet du garçon et l’enleva de son col. Yoltic se redressa. Il regarda le garçon, sans pouvoir arrêter de rire.

-Tu te crois trop fort, eh ?, lui dit Yoltic en se calmant mais encore avec un grand sourire moqueur. C’est bien, tu deviendras surement un guerrier !

Puis il étira le bras et remua les cheveux châtains du garçon… Mauvaise idée, grande erreur.

-Tu te crois trop fort, eh ? lui dit avec un grand sourire moqueur. C’est bien, tu deviendras surement un guerrier !

L'inconnu étira le bras et remua les cheveux châtains de Cipactli.
Ce jeune le prenait comme un petit garçon, il n'était plus un garçon! Il était déjà un homme!
Il se sentit insulté, l'inconnu venait de dire ce qui l'embêter le plus...
Mais quand il sentit les mains de l'inconnu sur ces cheveux il sentit un peu de nerves, il ne sut pas pourquoi...

- JE NE SUIS PAS UN ENFANT "·$%&/( JE SUIS UN HOMME! - criât et lui donnât un coup dans le nez, sans excéder sa force, il ne voulais pas vraiment lui faire mal, surtout parce que il y avait beaucoup de personnes à côté d'eux.

Il ne s’attendait pas du tout ce coup sur le nez… Yoltic amena sa main à son visage. Son nez semblait être bien placé et sans sang en train de couler. Le coup n’avait pas était trop dur, mais Yoltic eu quand même mal. Il fut complétement déconcerté. Ce garçon, ou jeune homme, était vraiment en colère ! Yoltic, par instinct, et seulement que par instinct, riposta en lui donnant un coup sur le visage. Il ne mesura pas sa force et fit tomber le garçon. Tous les gens présents se retournèrent vers eux. Les yeux verts de Yoltic s’ouvrirent comme des assiettes.

-Mais qu’est-ce que j’ai fait ?, murmura pour lui-même.

Yoltic regarda vers tous les sens. Toutes les personnes le regardaient avec un étrange regard. Yoltic décida d’aider le garçon à se lever. Il prit ses poignets et le mit débout. Yoltic se retourna et vit comment deux gardes du marché entre la foule qui s’approchaient. Il prit le garçon du bras et lui dit en voix base à l'ouïe:

-Je crois qu’il vaut mieux, pour tous les deux, sortir d’ici.

Sans attendre une réponse ou une plainte de l’autre, Yoltic l’entraina avec lui en se faufilent entre la foule. Ils étaient très proche de la sortie quand…

Toutes les personnes les regardaient avec un étrange regard. Yoltic décida l’aider à se lever. Il se senti embarrassée. Il vit comment deux gardes du marché entre la foule qui s’approchaient. Yoltic le pris du bras et lui dit en voix base à l'ouïe:

-Je crois qu’il vaut mieux, pour tous les deux, sortir d’ici.


Yoltic l’entraina avec lui en se faufilent entre la foule. Ils étaient très proches de la sortie.

Cipactli se senti vexe et en colère. Il se lâcha brusquement. Il tourna les yeux vers le ciel et pris pitié de Yoltic.
- ça va, ne fasse pas semblant de savoir tout ... - lui dit d'un ton exaspérée, - je sais par ou on peu s'échapper.
Ainsi Il frappa le sol fortement et de ce lui ci s'ouvrit un tunnel.

- Allez rentre! Vite! - sans attendre une réponse il poussa Yoltic dedans le tunnel apparemment sans fond puis il se jeta derrière lui et le tunnel se fermat

Yoltic regarda le garçon sans comprendre… Le marché avait une seule et unique sortie. Ses yeux verts s’ouvrirent comme des plats quand le garçon donna un coup au sol et l’entrée d’un tunnel s’ouvrit juste à ses pieds. Cela signifiait que… ce garçon maîtrisait la terre aussi ? Comment n’avait-il pensait avant à creuser un tunnel avec ses pouvoirs ? S’il y aurait pensé, de toutes façons, il n’y aurait pas réussi.

-Allez rentre ! Vite !, le pressa Cipactli.

Yolte jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, les deux gardes s’approchaient. Soudain, on le poussa et il se retrouva dedans l’obscur tunnel. Cipactli atterrit à ses côtés. Le tunnel se referma, les plongeant dans le noir total. Yoltic ne voyait rien, il n’arrivait même pas à voir ses mains. Il ne savait plus où exactement se trouvait l’autre garçon.

-Euh… Où es-tu ?

Ses paroles furent répétées plusieurs fois, par l’éco.

- Euh... Où est-tu?

- À côté de toi... Lui répondu Cipactli avec un grognement. Ce type n'arrêtait pas de l'exaspérer. - maintenant tu est en dette avec moi, sans moi on serrai déjà a la prison, et que se soit bien claire aussi que je ne suis plus un garçon.

Il commençait a sentir froid un froid humide qui commençait à être intolérable ce qu'augmentais sa colère et à la fois diminué sa patience, au même temps il se demanda pourquoi la simple présence de se Jeune lui agacer tant et si vite.

Vraiment ? Il était juste à côté de lui ? Yoltic devrait lui croire, en plus, sa voix délattait sa proximité… Mais Yoltic continuait à croire qu’il n’avait pas plus de quatorze ans… Par contre il avait maîtrisé la terre à la perfection. Donc ce jeune garçon devait y avoir à peu près seize ans, à quatorze ans on ne maîtrisait pas aucun élément ainsi. Le garçon avait raison, il était en dette avec lui.

-D’accord, je suis en dette avec toi, répondit Yoltic de mauvaise humeur, là en bas la température était bien plus baisse qu’en haut, au marché. Qu’est-ce que tu veux de moi ? Qu’est-ce que tu veux en échange ?

Il voulait finir avec cette affaire et retourner à l’académie.

-D’accord, je suis en dette avec toi,. Qu’est-ce que tu veux de moi ? Qu’est-ce que tu veux en échange ?

Cipactli avait analysée la situation.
Ce jeune homme n'était pas un homme normal, il n'avait rien di sur ces pouvoirs, il ne semblais pas surpris, il avait réactioné casuellement, ce si pouvait signifié beaucoup de choses, peut être lui il connaissait l'académie, peut être il pourrait lui conduire directement à l'académie!

- Premièrement et avant toute chose jeune homme, dit moi ton prénom, et qui et d'où tu viens, c'est curieux que tu ne soit pas surpris par mes pouvoirs, pourrait être que t’as des pouvoirs aussi… n’est ce pas ?
Il s’approcha encore plus…

Le garçon avait raison, ses pouvoirs n’avaient pas surpris Yoltic. Ce garçon posait trop de questions. Il regarda le noir, vers où il supposait qu’il était débout le garçon.

-Je suis Yoltic Xochilpilli, commença le jeune homme, je suppose que tu connais mon nom, nom d’une famille de commerçants très connue à Tenochtitlan. Et oui, j’ai des pouvoirs, comme toi, reconnu Yoltic. Maintenant à toi de me dire ton prénom, d’où tu viens et qu’est-ce que tu veux de moi.

Yoltic commençait en avoir marre de l’obscurité totale, sous terre, avec cet étrange adolescent maîtrisant la terre mieux que lui.

-Je suis Yoltic Xochilpilli, commença le jeune homme, je suppose que tu connais mon nom, nom d’une famille de commerçants très connue à Tenochtitlan. - "une famille très connue" mais il se croyait qui? Quelle égocentrisme bon sang!- Et oui, j’ai des pouvoirs, comme toi, reconnu Yoltic. Maintenant à toi de me dire ton prénom, d’où tu viens et qu’est-ce que tu veux de moi.

- Je m'appelle Cipactli Yohualli c'est tout ce que tu dois savoir sur moi, et puisque tu as des pouvoirs tu doi surement connaître l'académie qui reçoit des gents avec des pouvoires comme nous, n'est ce pas Mr. Xochiturimachin?

Il fut un rire bas, il commençait à être sur, ce garçon l'amenerais surement dans l'académie.

Pendants ce temps, Yohualticitl se trouvait aussi dans le marché, chose qui n’était pas rare du tout, cette femme vivait dans les marchés. Elle chercher une âme pourrit, je veux dire, une âme en peine à qui guérir, peut être une âme curieuse à laquelle lire son future… les marchés étaient magiques, on ne sais jamais qui ont peut rencontrer.
Elle étala sa petite nappe, elle allumât l’encens qui ne tardait pas à diffuser son parfum, cette odeur si particulière… et elle l’aidât à se propager dans tout le marché, et finalement elle sortit de son « morralito » des herbes curatives, des talismans, des œufs et des quartzs.
Et elle commençât à chanter légèrement des chants pour les dieux et parfois elle arrêtât, et cria:
« Aller venez chez moi, venez vous en débarrasser de vos peines, éloigner les esprits, venez parler avec moi, venez réguler vos vibrations … approchez vous… profitez de ma présence, venez vous en débarrasser de vos peines… j’ai la solution… »

Comment que Monsieur Xochiturimachin?? Ce garçon était vraiment insupportable ! Yoltic compris que ce garçon voulait arriver à l’académie. Si la situation avait été différente, Yoltic n’aurait eu la moindre intention de guider Cipactli à l’académie. Mais il était en dette avec lui et en plus il en avait marre de lui et d’être sous terre. Yoltic soupira.

-J’ai compris ce que tu veux. Oui, je connais l’académie. Je t’amènerai, si c’est ce que tu veux.

Yoltic pensa qu’il serait capable de rencontrer son chemin sous terre, si il avait quelque chose qu’il connaissait bien c’étaient les rues de Tenochtitlan, en plus il valait mieux ne pas sortir à la superficie. Les gardes du marché surement continuaient à les chercher, et les gardes… connaissaient bien Yoltic depuis des années, seulement son nom le protégeait d’eux. « Mais ils en seraient ravis d’avoir un motif pour m’envoyer à prison ou me faire un esclave » se dit-il. Il y avait un seul problème : il n’y avait aucune source de lumière là en bas. Yoltic pourrait parcourir le chemin dans le noir, mais le garçon ?

-Je peux te guider sous terre, mais je ne sais pas si tu pourrais me suivre et je suppose que tu n’as aucune chose avec laquelle faire du feu. Ça serait mieux aller sous terre, les gardes peut-être nous cherchent en dehors du marché. Mais c’est ta décision.

Sur eux, Yoltic écoutait les cris d’une vendeuse. Elle disait avoir le pouvoir d’éloigner les peines…

Les airs, les saveurs, les bruits et les odeurs du marché manquaient à Itzayana. C’était pour cela que cet après-midi elle était sortie de l’académie. Elle marchait dans le marché en passant par tous les couloirs et s’arrêtant devant chaque poste. En ce moment elle parcourait le couloir où on vendait des plantes médicinales, des herbes, des parfums… Ces choses n’intéressaient pas beaucoup à la jeune guerrière, mais quand même elle se promenait par là. Soudain elle senti comment on la bousculait délicatement. Elle se retourna, une femme s’excusa avec elle. Itzayana vit un jeune homme tirant d’un garçon entre la foule. Itzayana ne leur donna pas d’importance et continua son chemin, elle avança deux ou trois postes. Un petit panier avait attirait son attention. Elle commença à négocier avec la marchande pour acheter le panier. Mais la vieille femme se refusait à le vendre puisque ce ne faisait pas partie de ses marchandises. Itzayana ne vit pas comment une femme arrivait et montait son petit « stand » à côté de celui de la vieille femme. Soudain cette femme poussa un cri :

-Aller venez chez moi, venez vous en débarrasser de vos peines, éloigner les esprits, venez parler avec moi, venez réguler vos vibrations … approchez vous… profitez de ma présence, venez vous en débarrasser de vos peines… j’ai la solution…

Itzayana dirigea son regard vers cette petite femme aux cheveux courts et noirs. Elle ne put pas retenir un fou rire. Elle s’oublia du panier et dit à la vendeuse de « régulateurs de vibrations » :

-Mais voyons, ma vieille ! Tous ces talismans et herbes que vous vendez ne servent à rien ! Ni vous-même vous croyez à ses prétendus « pouvoirs » !

Itzayana se dit qu’elle allait bien s’amuser cet après-midi.