Présentation de Kualtzin Siuateotl
Nom: Siuteotl ( qui veut dire déese)
Prénom: Kualtzin (mais ses amies lui disent Kual ou Kualtzi) (qui veut dire belle)
Surnom: (utilisé que pas très peu de gens) Papalotl (qui veut dire le papillon)
Âge: 18 ans
Élément maîtrise: vent
Métier: Élève
Description physique: Elle à des cheveux blonds et très longs.Une peau blanche. Des yeux bleus comme le ciel d'Azur. Un tout petit nez et de petites oreilles sur lesquelles sont accrochées des boucles d'oreilles. Son cou est mince. Elle porte toujours son collier porte bonheur. Ses bras son fins. Généralement elle porte des bracelets et une robe blanche qui lui arrive jusqu'aux chevilles. Elle à des courbes attirantes. Elle porte des sandales mais elle aime aussi être pieds nus. Elle est très belle.
Description du caractère: Elle est gentille et cherche son âme soeur. Elle n'aime pas être mise à l'écart mais par contre adore être le centre d'attention. Très coquette. Parfois, elle manque un peu de modestie. Elle à honte de son passé: elle était petite, coquine, qui aime faire des blagues, se salir... Selon elle c'était l'âge ingrat. Et préfère donc éviter de parler sur le passé.
Principales capacités: gentille, mignonne, sait lire, attire facilement les garçons,… Elle sait lire les sentiments et pensées des autres.
Principaux défauts : elle est très sensible aux paroles des autres,
Particularité : ses bijoux, sa facilité pour attirer les garçons et elle sait lire les pensées et les sentiments des autres.
Situation sociale : fille d’un père qui à une position importante dans la région et d’une mère qui à aussi une position importante dans la région.
Situation familiale : C’est une fille unique. Ces parents l’aiment beaucoup.
Histoire : Kuautzin est né il y à déjà 18 ans. En fait, son vrai nom est Papalotl Shiu. On l’a appelé Kuautzin Siuateol bien des années après…
Enfant, elle était très coquine, c’était son « Âge ingrat » comme on dit. Elle échappait constamment à la surveillance des servantes qui était exaspérées.
-Elle grandira, disait son père
-Elle est encore petite, disait sa mère
-Elle ne sera jamais comme ses parents, disaient les servantes
Et c’est ainsi quelle passa ses dix premières années. Elle s’avait exactement qu’ils pensaient cela d’eux puisqu’elle avait reçu le don de savoir lire les pensées et les sentiments des autres.
Un beau jour d’été, quand elle venait d’échapper une nouvelle fois à la surveillance des servantes, elle décida d’aller au volcan Popocatépetl, qui était juste derrière sa maison. Elle grimpa pendant un long moment. Finalement, elle décida de jeter un coup d’œil de sa position. Elle grimpa donc sur un rocher qui dominait les alentours. Une fois en haut, elle aperçut sa maison au loin et une petite clairière qui s’étendait à ses pieds. Sur un bord de la clairière, il y avait un petit point noir. Elle s’approcha un peu plus du bord du rocher sur lequel elle était debout, mais malheur ! Elle glissa du rocher et tomba ! Elle avait déjà tombé de plusieurs mètres quand soudain sa chute ralenti. Elle ralentissait à chaque fois plus quand à la fin, elle réussit à se poser au milieu de la clairière en douceur et sans une égratignure. Et ce fut là quelle vit un homme sur un bord de la clairière. Il était bouche bée. Mais il réussit à dire ces mots :
-Vous êtes … Kualtzin Siuateol ? Une déesse ? La plus belle de toutes les déesses?-Mais non… Je suis une humaine et je m’appelle Papalotl.Elle était aussi stupéfaite que lui sauf quelle ne laissait rien paraitre. Le vieil homme commença à la traiter de déesse et finit par la convaincre de l’emmener chez ses parents. Une fois qu’il eut raconté toute l’aventure de sa fille (bien sur en fessant des milliers d’hyperboles… Et en traitant leur fille de déesse) les parents appelèrent Papalotl. Voici ce qu’ils dirent :
-Papalotl, sait-tu voler ?-Non mon père.-Comment as-tu fait ?-Je ne sais pas.-Tu vas t’appeler à partir de maintenant Kualtzin Siuateol. Pour faire honneur aux dieux qui t’on évité une mort certaine.-Très bien mon père.Leur discours ne fut pas plus compliqué que cela. Depuis se jour, on l’appelait ainsi et on croyait que c’était l’œuvre des dieux. Kualtzin avait arrêté de faire des bêtises et elle grandissait. Elle commençait à être très jolie et les garçons voulaient l’épouser quand ils seraient grands. Mais elle, elle ne voulait pas : elle voulait trouver son âme sœur. Un jour, elle entendit une conversation entre ses parents qui discutait les derniers faits. Ils parlaient d’une nouvelle académie mais qui était spéciale car elle recevait des élèves avec des pouvoirs magiques. Ils trouvaient l’idée très bien.
Peu de temps après, Kualtzin était au bord d’une fontaine. Elle était triste car elle venait de refuser un nouveau prétendant. Depuis quelques temps, elle recevait pleins de cartes qui la demandait en mariage. Elle n’en pouvait plus, ce quelle voulait c’est trouver son âme sœur et se marier mais il s’emblait que le destin ne veuille pas…
-Pourquoi ? Pourquoi est-ce si difficile ? Je ne veux que mon âme sœur !Elle pleurait à chaudes larmes. Soudain, un grand serpent rouge et noir s’aprocha. Kuautli ne s’en apercut pas tout de suite et quand elle s’en aperçut il était trop tard : le serpent l’avait bloqué.
-Non ! criât-elle.Puis un nouveau miracle se produisit : elle commença à « voler » et passa juste au dessus du serpent. Une fois de nouveau à terre elle courut de toutes ses forces vers son père et sa mère qui était en train de manger. Elle entra en trombe dans la pièce et s’exclama hors d’alène:
-Ça c’est reproduit ! J’ai revolé et je suis sure que c’est moi qui le produit !Elle réussit à voir que son père pensait :
-Ça devait arriver. Il faut l’emmener dans cette école d’enfants avec des pouvoirs surnaturels.« Je vais aller dans cette école ! » se dit Kualtzin.
« Et je vais… »Elle fut interrompue par la voie de son père :
-Kualtzin, je croie que tu vas devoir aller dans une école spéciale, loin d’ici…-Non !se lamenta sa mère.
-Je vais y aller, déclarât-elle.
-Très bien. Au revoir. Tu pars demain.Et ce fut ainsi quelle se trouva aux portes de l’accadémie.
Autre chose à nous dire :