David contre Goliath

Après quelques instants de recherche entre la foule, Cuauhcihuatl se remdit compe que Citlaltlachtli n'était pas là, alors elle dirigea ses yeux gris vers l'arrène. Elle vit les deux témoins qui parlaient, mais Tochtli avait un air vraiment faché. La fille aux cheveux noirs s'éloigna du témoin d'Iztacoyotl et alla s'asseoir à l'autre côté de l'arrène.
Popotlan continuait à mordre l'oreille d'Iztacoyotl, mais celui-ci fit une pirouette s'éloigna du garcon. Puis il déchira sa chemise et avec un bout de tissu se banda les yeux. "Mais, qu'est-ce qu'il lui prend?" pensa Cuauhcihuatl, surprise. "Les yeux bandés, il ne gagnera pas facilement le combat!" Mais comme ca, Popotlan aurait une chance de plus pour gagner, même si ses atacs étaient inhabituels... Iztacoyotl n'utiliserait pas ses pouvoirs et maintenant il avait les yeux couverts, quoi de plus pouvait-il demander?
La fille dirigea sa vue vers AYili Tonantzin. Elle anonca qu'elle ne voulait plus contempler ce masacre. Et puis, comme le directeur lui avait démander de faire quelque chose de bon à manger, la jeune femme répondit justement "non", puis elle abandomna la salle. Cuauhcihuatl aurait fait ca bien avant mais quelques chose la rétenait dans les grandins et continuer à voir le combat.

Amaya visitait un peu l’académie pour pouvoir s’y retrouver ce qu’elle eut du mal à faire. Car pour Amaya, qui avait vécu toute sa vie entre un minuscule orphelinat et la petite chaumière de ses parents adoptifs, c’était le plus grand endroit au monde. Elle continuait de s’enfoncer dans les couloirs et elle finit par se perdre. La jeune fille essayait de se rappeler exactement le chemin qu’elle avait parcourut jusque là. Quand elle entendit du bruit du côté du théâtre, la seule pièce qu’elle avait réussit à identifier. Elle hésita puis finalement elle ouvrit la porte et entra. Elle avançait un peu plus dans la pièce quand une jeune femme, visiblement en colère la heurta de plein fouet sans même s’excuser. Quand elle posa les yeux sur l’arène, elle eut la surprise de voir un garçon immense lancer une petite poigné de terre au visage du maître de combat en criant comme un bébé chien. Puis, quand il eut finit, il commença une série de mouvement désordonnés. «Holala, ce garçon se rend-t-il compte à quel point il est ridicule ? »se dit-elle. Il semblait que non, le jeune homme était le seul qui ne se rendait pas compte qu’il était ridicule. Comme le spectacle était assez amusant, elle s’assit à côté d’une fille aux yeux gris qui lui expliqua que le jeune garçon se nommait Popotlan et qu’il avait provoqué le maître de combat en duel. Amaya continua de regarder la lute, Popotlan était en train de mordre l’oreille d’Iztacoyotl qui fit une pirouette en arrière et…se banda les yeux.
Quand Amaya était arrivé dans la salle, le garçon n’avait aucune chance de gagner le combat, mais maintenant, le maître faisait tout pour favoriser Popotlan.

Cuauhcihuatl attendait impaciente un ataque de la part de Popotlan. Juste après la sortie d'Ayili, une petite fille rentra au théâtre. Cuauhcihuatl ne lui prêta pas attention et plongea dans ses pensées. "Qu'elle sera leur raison pour se battre?" se démanda la fille. "Je crois que Tochtli et la femme blonde se sont disputées.... pourquoi? Ce combat se déroule très lentement! Je pourrais être ailleurs... en chercheant un quetzal avec Ameyal.... ou bien aux jardins avec Citlaltlachtli. Mais non, je suis là... regardant ce combat. Pourquoi je n'ai pas sorti au paravant? Iztacoyotl essaye de faire le ombat plus facil pour Popotlan... me il le rend lent et absurde! Qui se couvre les yeux, avec un bout de tissu arraché de sa chemise, la quelle on s'enlève?? QUI?? Qui mord l'oreille pour se défendre? Un chien, pas un garcon! En plus qui permet qu'un gars se bat avec un homme bien plus âgé que lui?? QUI?? "

-CE COMBAT EST ABSURDE!!!

Et oui, cette dernière phrase sortit de la bouche de Cuauhcihuatl. La fille s'aillant rendu compte qu'elle avait crié, elle pâlit. Sa peau devint plus blanche de ce qu'elle était et ses yeux gris s'ouvrirent bien grands. Tout les présents s'avaient rétourné vers elle.

Amaya, très inquiète des mouvements du garçon. Elle l’aurait pris pour un fou si elle n’avait pas été prévenue que si ce jeune homme se donnait en spectacle, c’était uniquement parce qu’il aurait passé pour un dégonflé si il s’était désisté. Elle se disait que Popotlan aurait pu, car le maître de combat avait les yeux bandés, l’attaquer par derrière, déséquilibrer Iztacoyotl et fuir sa riposte mais elle ne dirigeait malheureusement l’esprit du jeune garçon.
-CE COMBAT EST ABSURDE !!!
Cette phrase hurlée par une fille d’une quinzaine d’année a sortit de ses pensée. Un silence pesant régnait dans le théâtre. Les deux duellistes s’était arrêté de se crier dessus. Pour une fois, ce n’était pas Amaya qui se retrouvait dans une pareille situation. Elle aurait pu en rire mais même si elle l’avait voulue, elle n’aurait pas pu. La jeune fille s’était trop souvent trouver dans le même genre de cas et elle avait pitié de cette fille qui palissait de plus en plus. Cuauhcihuatl était sous pression, tout le monde la dévisageait. Elle palissait tellement qu’elle faisait presque peur. « On dirait vraiment moi !!! » se dit Amaya qui avait vraiment pitié de cette petite fille pale avec tout ce monde autour d’elle. En plus de tout, l’assemblé commença à se moquer de la fille qui faisait peur tellement elle était blanche. C’en était trop pour Amaya, elle ne pouvait plus observer le désarroi de la jeune fille. Elle se leva hésitât puis pris la parole en criant pour couvrir les rires :
-Vous n’avez pas honte, ça aurait très bien pu être vous à qui cette phrase serait sortit, cette jeune fille a raison, ce combat est réellement ridicule ! Toi, dit-elle en s’adressant à Popotlan, à quoi cela te sert de te donner en spectacle alors qu’il est clair que tu n’a aucun pouvoir ? Le garçon baissa la tête. C’est vous qui êtes ridicule à vous moquer de ceux qui ont le courage d’affirmer leur opinion…
Elle s’arrêta brusquement, avait-elle eut raison de tout interrompre comme ça, elle avait peut-être fait une erreur. Et puis de toute façon, la fille n’avait pas à se mettre dans de tels états, mais elle aussi pleurait toujours pour un rien. Elle était dans un état de totale confusion quand elle se rappela ce que son père lui avait dit une fois : « Quand on fait une erreur, on est le seul responsable mais quand on fait quelque chose de bien, on est aussi le seul responsable. Il faut assumer ses actes. »
Elle avait eut raison, elle ne pouvait pas laisser cette jeune fille dans la détresse. Cuauhcihuatl lui adressa un petit sourire. Amaya se sentait bien, mais ce sentiment de bienêtre se dissipa très vite car, certes plus personne ne dévisageait désagréablement Cuauhcihuatl, mais tout le monde regardait maintenant Amaya avec obstination …

Tzahuanittzin commençait à s'ennuyer de ce spectacle: tout allait trop lentement. Elle fut le point de sombrer dans le sommeil quand elle entendit une jeune fille crier:

-CE COMBAT EST ABSURDE!!!

Et elle avait tout à fait raison. Avant que notre maître ait pu réagir, Amaya, une autre jeune fille,la défendit vigoureusement. Tout le monde commençais à dévisager Amaya d'une façon désagréable ce qui la gêna. Tzahuanittzin voulait faire comme elle mais ce dit qu'en tant que témoin, il valait mieux se taire. Elle observa la cène avec attention, en gétant la réaction de Chipili. Après un moment, elle ne résistait plus.

- Je trouve qu'elles on tout à fait raison, appuya-t-elle. Ce combat est tout à fait ridicule. Celui qui va perdre va en être très affecté.

Pourquoi? Pourqoi avait-elle crié? Cuauhcihuatl ne saurais pas le dire. Ces mots, avaietn sorti hors de son âme. La fille ne voulut poin crié mais elle n'eu pas d'option les mots avaient sortis automatiquement! Cuauhcihuatl pâlit, sa peau devint toute blanche, autant que ses cheveux. Puis, la fille quei venait de rentré la déffendue:

-Vous n’avez pas honte, ça aurait très bien pu être vous à qui cette phrase serait sortit, cette jeune fille a raison, ce combat est réellement ridicule ! puis elle s'adressa à Popotlan. Toi, à quoi cela te sert de te donner en spectacle alors qu’il est clair que tu n’a aucun pouvoir ? C’est vous qui êtes ridicule à vous moquer de ceux qui ont le courage d’affirmer leur opinion…

Cette fille avait était bien courageuse en dissant celà. Mais, en fait, Cuauhcihuatl avait urlée sans faire expré. Cuauhcihuatl lui adressa à la fille un petit sourire et sa peau commenca à retrouver son couleur naturel. Cuauhcihuatl dirigea ses yeux gris de nouveua vers l'arrène où tout le monde l'observée. C'est alors que la femme blonde déclara:

- Je trouve qu'elles on tout à fait raison. Ce combat est tout à fait ridicule. Celui qui va perdre va en être très affecté.

C'est alors que Cuauhcihuatl la réconnue, elle réconnu sa voix. Elle avait entendue sa voix son premier jour dans l'académie. C'était le maître de l'eau qui devait apprendre à nager à une fille nommée Cozamolotl. Elle avait bien raison en dissant que le perdant allait être très affecté. En ce moment Cuauhcihuatl n'eu pas de regrets d'avoir criée, ce qu'elle avait dit était vrai, ainsi que les paroles de la fille et du maître de l'eau. Puis, la honte de la fille se transfoma en colère. Ce qu'elle haïsait le plus c'était la stupidité des gens et ce combat était une grande stupidité. Alors une force inconnue la fit sauter tous les gradins et se mettre au centre de l'arrène, entre les deux hommes. Puis elle cria dessus Popotlan:

- Es-tu bête? Qu'est-ce qu'il te prend pour combattre en homme bien plus âgé et plus fort que toi? Je te réponderai: oui, tu es bête! Pourtant tu nas pas l'air! Si j'étais toi, je ne risquerais point ma santé et ma réputation en me battant contre un maître de combat!

La fille tourna le dos à Popotlan à que son visage reste devant celui d'Iztacoyotl:

- Et vous, je comprends bien que vous faites tout le possible pour rendre le combat plus facile à Popotlan, mais vous aviez été bien irresponsable en se batant contre lui!

Cette fois Cuauhcihuatl rougit, mais de colère. Elle se tourna vers Chipili, en le régardant droit dans les yeux:

-Je ne peus pas croire que vous aviez permit un tel combat! Ma foi! Un gars de quinze ans contre un homme de plus de vingt! Moi que je vous croyez sage et responsable! Ayili Tonantzin a eu bien raison en créeant cette bulle d'air pour protéger Popotlan! Cette fille, en rose, dit-elle en tournant le tête vers elle,elle a eu raison aussi. Ainsi que le témoin d'Iztacoyotl, le maître de l'eau!

Elle tremblait, de colère. Puis elle ajouta:

-Je ne crois pas à être la seule à penser celà. Et vous le savez!

Tzahuanittzin observa avec stupeur la réaction de Cuauhcihuatl. Mais était bien contente quelle le fasse: il était temps! Elle frémit tout de même en entendant son nom. Après tout elle était le témoin d'Izacoyotl et normalement devait le soutenir. Ce fut exactement ce quelle dit:

-Je sais que normalement je suis censé aider le futur maître de combat mais en fait je ne suis pas du tout d'accord avec cet affrontement ridicule. Je suis complètement d'accord avec cette jeune élève: il y a que de la sottise dans ces actes.

(Désolé d'avoir tardé à répondre...)


Comme bien souvent, la situation dépassait Popotlan qui ne savait plus où donner de la tête. Voilà que plusieurs personnes avaient fait entendre leurs voix et crié quelques paroles que Popotlan n'avait pas compris. Pourquoi? Pour quelle raison n'avait-il pas saisi le sens des paroles qui avaient été proclamées? Bonne question. Non qu'il soit devenu sourd ou idiot (ce dernier point est certes polémique, mais admettons tout de même que notre héros n'est pas idiot au point de pas comprendre le sens de simples phrases!), Popotlan avait vu toute son attention absorbée par une beauté renversante qui lui fit battre le coeur. Son regard croisa le regard d'une jeune fille et ce fut le coup de foudre immédiat. Le coup de foudre d'amour. Avec les sueurs froides, les frissons dans le dos, les joues toutes rouges et les fameux papillons dans l'estomac.

Voici toute l'ironie du sort de Popotlan: il était venu trouver la gloire en se battant et le voila victime de cupidon et d'un sentiment nouveau: l'amour pour les beaux yeux d'une demoiselle.

Alors, que se passait-il autour de lui? Il n'aurait su le dire. Il n'avait qu'une certitude: il fallait qu'il gagne pour que sa dulcinée soit fière de lui!

Il se lança donc sur son adversaire qui ne le vit pas venir puisqu'il avait eu l'étrange bonne idée de se bander les yeux, il atterit sur sa tête en un bond remarquable (l'amour donne des aîles, c'est bien connu) et lui tira les cheveux de toutes ses forces jusqu'à lui en arracher quelques touffes...

Tzahuanittzin attendait une réponse de la part d'un des combattants ou de Chipili. Ce fut à ce moment là que Popotlan attaqua une nouvelle fois mais à la place de mordre, il sauta sur la tête de son rival en lui arrachant les cheveux. Tzahuanittzin se rendit compte qu'il ne l'avait pas entendu, ce qui la mit en colère. Elle fit comme si de rien n'était.

- Êtes-vous d'accord avec moi? Popotlan?

Elle n'était pas sure qu'il lait entendu car il était dans son perchoir et il était loin et Tzahuanittzin n'avait aucune envie de s'approcher de peur qu'il s'attaque à elle (se qui était fort peu probable). Pourtant le jeune homme eut une réaction...

La fille en tremblant toujours de colère attendait que Chipili dise quelques chose. C'est alors que Popotlan se lança à nouveau sur Iztacoyotl. Le maître n'attendait pas celà et ne le vit pas venir pusqu'il avait les yeux bandés! Avec un bond, le garçon atterit sur la tête d'Iztacoyotl et lui arracha des touffes. Mais n'avait-il pas comprit? S'il continuer à se battre il terminerait par être bléssé. Le maître de l'eau essaya d'arreter Popotlan:

-Êtes-vous d'accord avec moi? Popotlan?

Cuauhcihuatl, certaine que le garçon n'avait pas écouté les paroles de la femme, decida d'intervenir:

-Non!S'écria-t-elle.

La fille, dirigeant ses bras vers les deux hommes, mains ouvertes et doigts étirés, lança un vite courrant d'air ver eux. Le courrant passa juste quelques centimètres dessus des têtes des combattants.

Tzahuanittzin attendait une réaction du jeune homme, mais à la place, elle entendit la voix de la jeune fille. Puis elle vit le courant d'air passer juste aux dessus des têtes des combattants.

-J'en ait asser! Va-t-on m'entendre? Ce combat est RI-DI-CU-LE. Izacoyotl, est-ce que toi tu vas m'entendre? Au moins toi!

Puis comme elle vut que ces paroles n'avaient aucun effet, elle commença a utiliser sa magie: elle commença à élever un peu d'eau puis les propulsa à toute vitesse vers Popotlan et son rival. Il étaient tous trempées jusqu'au os. Elle s'avait quelle allait s’attirer les foudres de Chipili, mais ça aura valu la peine...

-Voila ce qui est fait. Maintenant vous n'êtes plus vraiment en mesure de combattre... Et si vous alliez vous changer tous les deux? Sinon vous allez être malade!

Iztacoyotl était vraiment surpris à cause du comportement de Popotlan, d’abord il lui mordait l’oreille qui maintenant lui saignait un peu mais encore, il osa sauter sur lui et lui arracher les cheuveaux !! Quand il fut capable de pousser son adversaire, il sentit une vague d’eau qui le mouillait, cette vague avait été produite par son témoin. Iztacoyotl était vraiment marre de ce combat ! Il ne pouvait plus supporter de combattre contre un adolescent qui se comportait comme un bébé. Donc avec le tissu encore sur ses yeux, le maître de combat fit une pirouette dans l’air, frappa deux fois Popotlan sur le ventre puis il se retourna vers Chipili en enlevant le tissu de ses yeux et il dit :

-J’en ai vraiment suffisant de ce combat qui, comme les jeunes filles ont déjà expliqué, est complètement ridicule. Je m’en fiche si ce combat est une façon d’obtenir ma place à l’académie, puis il se retourna vers Popotlan et lui dit, Tu as beaucoup d’énergie et je pense que aussi tu as une bonne motivation mais il te manque de la technique pour pouvoir combattre d’une façon correcte, si tu veux tu peux venir me demander des conseils et avec plaisir je t’aiderais.

Puis il marcha vers la sortie du théâtre et dit à Chipili :

-J’irais après dans votre bureau pour en discuter sur ma place dans l’académie.

Et il abandonna le théâtre pour aller dormir un peu et soigner ses blessures

Le courrant d'air créé par Cuauhcihuatl passa juste au-dessus des têtes des combattants. C'est alors que la femme blonde cria:

-J'en ait asser! Va-t-on m'entendre? Ce combat est RI-DI-CU-LE. Izacoyotl, est-ce que toi tu vas m'entendre? Au moins toi!

Puis elle éleva de l'eau et la lanca fortement aux combattants. Juste en ce moment Iztacoyotl poussa son adversaire. Popotlan et le maître de combat étaient tout mouillés.

-Voila ce qui est fait. Maintenant vous n'êtes plus vraiment en mesure de combattre... Et si vous alliez vous changer tous les deux? Sinon vous allez être malade!

Iztacoyotl fit une pirouette dans l'air et donna deux coups sur le ventre à Popotlan. Cuauhcihuatl regarda la scène horrorifiée! L'homme s'enleva le tissu des yeux et en se retournant vers chipili lui dit:

-J’en ai vraiment suffisant de ce combat qui, comme les jeunes filles ont déjà expliqué, est complètement ridicule. Je m’en fiche si ce combat est une façon d’obtenir ma place à l’académie, il avait l'air d'être en colère, ensuite il se retourna vers Popotlan. Tu as beaucoup d’énergie et je pense que aussi tu as une bonne motivation mais il te manque de la technique pour pouvoir combattre d’une façon correcte, si tu veux tu peux venir me demander des conseils et avec plaisir je t’aiderais. Il se dirigea vers la sortie. J’irais après dans votre bureau pour en discuter sur ma place dans l’académie.lui fit-il au directeur.

Cuauhcihuatl suivit du regard Iztacoyotl jusqu'à qu'il soritit du théâtre. Puis elle dirigea ses yeux gris à nouveau vers Chipili. Qu'avait le vieux homme à dire à propos de tout celà?

Son adversaire ayant quitté subitement la salle, Popotlan se retrouvait alors seul au milieu de l'arène. Il mit quelques secondes à comprendre ce qui se passait car le garçon avait du mal à suivre le combat depuis que son petit coeur s'était resséré à la vue de cette jeune fille au regard envouteur.

Il comprit alors: Popotlan avait gagné contre le maître de combat qui avait lâchement quitté l'arène, qui avait lâchement abandonné face à la force et au courage de son adversaire.  Popotlan aurait préféré avoir une victoire plus flagrante, en mettant à terre Iztacoyotl par exemple, mais il se sentait malgré tout heureux et fier de lui! De quoi séduire ensuite sa dulcinée, il n'en doutait pas!

Il leva les bras vers le ciel, les poings fermés, et cria de toutes ses forces:

- J'ai gagné, j'ai gagné par abandon! Je suis donc accepté dans l'académie!!

Puis il se trouna vers Chipili, le regard défiant, et ajouta d'une voix ferme:

- N'est-ce pas M.Chipili?

Chipili se contentait d'observer la situation, s'en délectant sans rien dire. Il ignora le refus de la maître acrobate de lui obéir. Pour une fois, il n'avait aucun moyen de pression sur elle, mais il se promis de se venger à leur prochaine rencontre. Il suivait sans en avoir l'air les bribes de conversations qui lui parvenaient des gradins, riant dans son coin des disputes qui éclataient à droite et à gauche. Il refoula de justesse un éclat de rire lorsque le jeune Popotlan se jeta sur l'oreille du maître de combat comme un chiot enragé, et que ce dernier, ne sachant comment réagir, se banda les yeux pour tenter de conserver son honneur.

Et le niveau sonore augmentait à chaque instant, chacun criant à qui mieux mieux son point de vue aux autres, qui ne l'écoutaient pas. Ah, quel délectable spectacle, quelle admirable zizanie qui régnait en ces lieux. Quel mirifique...

Quoi!? Zizanie? Cris? Chiot enragé? Dans son académie à lui? Mais ça n'allait vraiment pas du tout. Il fallait immédiatement mettre un terme à tout ça. Maintenant, tout de suite, à la seconde.

-SILENCE!

Les cris se firent rapidement murmures avant de s'éteindre complètement. Chipili ne put empêcher un petit sourire ravi de s'étaler sur son visage alors que tous les regards convergeaient vers lui, étonnés. Il reprit la parole, heureux de pouvoir s'exprimer sans devoir hurler:

-Vous pouvez quitter la salle. Tous.

Décision incontestable. Déjà, les premiers élèves se levaient et se dirigeaient en silence vers la sortie. Ignorant le mouvement dans son dos, Chipili se tourna vers Popotlan:

- Quant à vous jeune homme, seriez vous par hasard idiot? Arriéré? Ou simplement trop égocentrique pour vous rendre compte de la situation? Vous venez de vous ridiculiser comme je n'ai encore jamais vu personne se ridiculiser. Vous êtes accepté malgré tout, parce que je crois qu'il n'y a que dans cette école que vous pourrez apprendre tout ce que vous avez à apprendre. Mais j'espère que vous finirez par comprendre que vous avez perdus. Maintenant, rejoignez les dortoir des Coalts qui sont désormais les vôtres. Et en silence s'il vous plait.

Puis, Chipili resta dans la salle, attendant que tous soient partis. Il sortit le dernier et referma la porte à clef en espérant ne pas avoir à la rouvrir de sitôt.

Quand Itzacoyotl quita la sale Popotlan avait une expression de confusion en son visage. Puis avec un air de fierté, leva ses bras vers le ciel, poignés fermés et s'écria:

- J'ai gagné, j'ai gagné par abandon! Je suis donc accepté dans l'académie!!, le garcon se tourna vers le directeur. N'est-ce pas M.Chipili?

Ensuite, Chipili cria:

-SILENCE!

Le vieux homme anuncia que tout le monde pouvait quitter la salle. Cuauhcihuatl observa comment les élèves qui se trouvaient dans les gradins quittaient la salle. La fille dirigea son regard vers Tochtli, le témoin de Popotlan. Elle avait regardait la scène sans rien dire. Cuauhcihuatl entendit que Chipili demndait à Popotlan si par hasard serait-il idiot. "Oui, il es idiot" pensa la petite Cuauhcihuatl, " Qui se bat avec un homme, un maître de combat, plus âgé et plus fort que soi? Au moins se combat absurde a eu fin!" Chipili dit à Popotaln qu'il avait perdu et lui ordonna de rejoindre les dortoirs de Coatl. Cuauhcihuatl soritit du théâtre, son visage avait revenu comme avant, pâle et inexpressif. Mais une phrase dite par le maître de l'eau resta dans sa tête: "Celui qui va perdre va en être très affecté." Chipili avait déclaré que Popotaln avait perdu. Serait-il aussi affecté comme la femme l'avait dit?

Tzahuanittzin était ravie que quelqu'un a part elles réagissent. Mais Chipili s'emblait vraiment faché. Quand il dit que tout le monde sorte, elle le fit sans demander son reste...

Après avoir observé une scène qui lui inspirait l'horreur et à la fois du dégoût, Tochtli se trouva seule devant la porte fermée du théâtre avec une sensation de confusion. Dans le but de prêter attention au combat et obtenir la victoire, elle avait ignoré le maitre de l'eau et tout le monde. Ils auraient pu gagner, Iztacoyotl leur avait laissé plusieurs opportunités. Pourquoi avaient-ils perdu? Était-ce une faute de Tochtli? Non, Popotlan aurait pu demander de l'aide à son témoin, les choses auraient pu se dérouler différemment. Il était trop tard pour ce genre de pensées, le combat était déjà fini et Popotlan fut accepté dans l'académie.

Les élèves quittaient rapidement le théâtre et Tochtli reconnut la figure de Popotlan, elle courut vers lui jusqu’à ce qu'elle fut suffisamment proche pour pouvoir lui parler. Elle cacha sa bosse sur la tête essayant d’éviter que personne ne s'en aperçoit:

Tochtli attendait une bonne réponse, cohérente et qui explique ces étranges comportements qu'il avait eu lors de la bataille.

J'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné...  se répétait inlassablement Popotlan qui prenait le chemin de la sortie dignement maintenant qu'il avait obtenu ce qu'il craignait de ne jamais mériter: une place dans l'académie. J'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné, j'ai gagné... Il ne voulait décidément pas admettre le ridicule de la situation. Mais comment lui en vouloir, à lui, qui n'avait jamais rien réussi durant sa triste vie?


Lorsque Tochtli, son témoin, vint lui parler et fit preuve d'honnêteté en lui disant ce qu'elle avait sur le coeur, il ne comprit pas sa remarque.

- Mais enfin, Tochtli, j'ai gagné, je suis accepté à l'académie et je suis même officiellement un Coatl ! Je n'ai pas fait appel à toi parce que je n'en ai pas eu besoin, c'était une victoire facile et je n'ai eu besoin de personne pour gagner. Voilà tout, ne sois pas fâchée! Mais puisque tu insistes, je crois que je vais avoir besoin de toi mantenant pour m'aider dans quelque chose... si tu es d'accord?    

Après avoir écouté la réponse de Popotlan, elle se sentit une grande confusion, majeure à celle d'avant. "Se rend-t-il compte du ridicule qu'il a fait là dedans? Il fait exprès?" Retirant sa main du dessus de sa bosse et la posant sur sa hanche, elle demanda ceci avec une expression d'inquiétude dans son visage:


Elle avait du mal à s'exprimer et quel mal celui qu'elle avait! Comment lui dire qu'il avait perdu cette bataille? Pourtant, il y avait aussi cette question que Popotlan lui avait posé...

C'était certainement intrigant...

Popotlan voulait se confier à Tochtli, il voulait lui faire confiance, la considérer comme son amie. Popotlan aurait tellement voulu avoir une amie, une vrair. Il voulait lui raconter comment il était tombé amoureux, soudainement, de cette fille mystérieuse...

Mais le ton et les propos de Tochtli brisèrent l'élan amicale du neune homme qui partit en courant après avoir lancé:


- Je pensais que tu étais gentille... Adieu!
   

Lila se promenait dans tout ces long couloirs jusqu'à qu'elle entendit cela:

- Je pensais que tu étais gentille... Adieu!

Elle s'aperçut que c'était la voix d'un garçon. Mais pourquoi disait-il cela ? Elle était très intrigué et décida de suivre cette voix. Puis au fond du couloir où elle se trouvait, elle aperçut quelqu'un. C'était peut être ce garçon qui avait dit cela. Il devait surement être triste par ce qu'il avait dit. Elle s'approcha donc de lui et lui dit:

-C'est bien vous qui avait parlé, il y a un instant ? J'ai écouté ce que vous avait dit et je voudrait bien savoir pourquoi vous avez dit cela ? Je sais que je suis entrain d'être un peu indiscrète mais vous m'intriguer beaucoup.

Lila attendit al réponse du garçon.Il s'énerverait peut être contre elle pour son indiscrétion. Mais bon, elle aurait donc essayer. Et puis si il se fâcher et le comprendrait.Car son attitude était parfois agaçante.

Depuis le début, Kualtzin observait la scène avec intérêt. Elle n'avait osé intervenir de peur d'être mal vue par Chipili et rejeté de l'académie. Mais elle n'était pas du tout d'accord avec se qui se passait. "Vraiment, je comprend parfaitement ce jeune garçon: il veut éviter d'être ridicule! Il à dut avoir une vie difficile, ça se voit. Vraiment je le plain. Les autres ne sont décidément pas très compréhensifs." Puis la salle commença à se vider. Ensuite Popotlan parla avec Tochtli, Kualtzin n'entendit que la fin de leur conversation puisqu'elle s'était rapproché peu à peu d'eux. Elle n'entendit que cela:

-...était gentille... Adieu!

Elle ne savait pas vraiment de qui il parlait mais elle vit ensuite une autre jeune fille venir lui parler. Et cette fois, elle entendit très bien ce qu'elle disait:

-C'est bien vous qui avait parlé, il y a un instant ? J'ai écouté ce que vous avait dit et je voudrait bien savoir pourquoi vous avez dit cela ? Je sais que je suis entrain d'être un peu indiscrète mais vous m'intriguer beaucoup.

"C'est vrai quelle est indiscrète. Mais elle ne sait même pas présenté." Elle resta sur place, malgré l'envie qui la poussait pour intervenir. Mais c'était impoli de le faire. Elle resta donc à l'écart.