Un être mystérieux?

Tzahuanittzin avait vu Cozamalotl prendre la direction de l'aile principale. Elle se dit que Cozamalotl était surement allé manger quelque chose aux cuisines, au premiewr niveau. Elle se rendis compte qu'elle n'avait pas mangé depuis la veille et qu'il serait temps de manger quelque chose. Surtout si elle voulait continuer son cours. Elle se dirigat donc vers les cuisines dans l’intention de manger mais aussi d'aller chercher son élève. Mais quand elle y arriva, Cozamalotl n'était pas là!

Mais ou est-elle? Serait-elle allé à un rendez vous? Ou encore faire une promenade?Mais comment la retrouver? Bon, je verrais bien. Mais pour le moment, il faut que je mange. Tient, voila une table avec pleins de fruits. Je vais prendre cette belle poire qui est au-dessus de la pile.

Elle se dirigea vers la poire mais quant elle toucha la poire, elle entendit un bruit, c'était comme un animal, ou peut être des animaux. Elle se retournât très rapidement et fit même tomber la poire. Mais les voix s'étaient tues. Elle chercha se qui avait pu produire cela mais même en mettant la cuisine sans dessus dessous, elle ne trouva rien. Même pas une queue de souris ou un trou de souris. Elle était en train de chercher à quatre pâtes sous une table quand quelqu'un entra.

Le hall était désert. Amaya cherchait désespérément quelqu’un pour demander son chemin mais la seule personne qu’elle avait vu était une jeune fille semblant pressée qui lui était passée devant en courant, ce qui l’avait fait basculer. Elle s’était assise par terre pour réfléchir quand elle entendit quelqu’un parler. Elle suivit le son, ce qui la mena aux cuisines. Amaya savait bien qu’il était formellement interdit aux élèves d’y pénétrer, mais tant pis, elle voulait retrouver son chemin. Quand elle entra, quelle ne fut pas sa surprise lorsque s’offrit à elle, le spectacle d’une jeune femme à quatre pattes sous une table, la cuisine sans dessus dessous. La femme sa releva, s’épousseta et regarda Amaya d’un air hautain. Ce qui mit Amaya très mal à l’aise. La jeune femme allait s’expliquer quand Amaya hurla :
-Der derrière vous, un dragon !!!!!!!!!!!!!
La femme éclata d’un rire incrédule, se retourna et perdit connaissance.

Quand une jeune élève entra dans la cuisine, Tzahuanittzin se senti ridicule: elle, maître de l'eau de cette académie était à quatre pâtes sous une table autour d'un désordre incroyable. Elle regarda l'élève d'un air hautin, pour essayer de lui faire oublier à quel point elle était ridicule.

-Der derrière vous, un dragon !!!!!!!!!!!!!

Se furent les derniers mots que Tzahuanittzin entendit avant de s'évanouir. Un dragon? Ça n'existait que dans les contes de fées! Ce fut exactement ce quelle pensa.Puis elle éclata de rire.Le maître de l'eau se retournat tout de même pour voir si se n'était pas vrais et à se moment là elle vit un monstre. Avec une petite tête, deux petits yeux rouges vif, et deux bosses au dessus. Deux grosses pâtes, qui se terminait pas cinq doigts pointus. Un gros ventre qui se balançais. Deux autres grosses pâtes, identiques aux premières puis une grosse et très longue queue. Le tout était gris et remplie d'écailles.

Vous vous imaginez peut-être que cela est impossible, que ça n'existe pas ou quelque chose comme ça mais en réalité cela existe. Ce quelles avait vu n'était autre qu'une iguane grise. Mais on doit admètre que si vous n'en avez jamais vu de votre vie, et qu'un jour vous vous trouvez nez à nez avec une, vous la prendrez peut être pour un monstre ou un dragon. Et ce fut exactement ce qui arriva à Tzahuanittzin et à l'élève.

Donc,quand Tzahuanittzin vit l'iguane elle eut la peut de sa vie et s'évanouit pour la première fois sous les yeux apeurés de l'élève qui s’appelait Amaya ce qu’apprit Tzahuanittzin par la suite.

Amaya paniquait sans savoir s'il fallait: ne rien faire, la secouer pour la réveiller, lui verser de l’eau sur le visage... Aller chercher du secours était totalement impossible car il y avait autant d’êtres humains dans les couloirs que de condors dans les dortoirs. Et avec ça, le « dragon » restait là, à la regarder. Ce qui, vous l’aurez compris, ne rassurait pas du tout Amaya.
-HHHHIIIIIIIIIIIIIIIHHHHHHIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!
C’était tout ce qu’elle avait trouvé à faire, crier, d’un cri perçant et aigu. Cela effraya le monstre, qui s’enfuit en urinant sur le professeur qui commença à se réveiller. Amaya eut juste le temps de prendre un seau et de dire :
-C’est, c’est de l’eau…
Mais une odeur désagréable commençait déjà à se répandre.

Tzahuanittzin ce réveillait enfin de son sommeil causé par la peur d'avoir vu l'iguane. Elle était à semi réveillé quand la jeune fille lui dit que c'était de l'eau. Le maître ne se rendit pas tout de suite compte quelle était trempé puis quand elle s'en aperçut elle vit aussi quelle odeur elle avait... Elle se leva doucement puis aperçut la jeune fille qui se tenait debout en face d'elle, visiblement horrifié. Et elle comprit vite pourquoi...

-Euh... Je croix que je viens d'avoir une mésaventure... Où est passé le monstre? Je croix que je ferait biens d'aller me laver... Quel est ton nom? Et que c'est-il passé exactement pendant mon so...

Elle n'eut même pas le temps de finir que l'iguane revient. Tzahuanittzin fit un effort pour ne pas perdre son calme et c'est ce quelle fit: elle prit un ballait, monta sur une table et se mit à crier de toutes ses forces. Amaya se mit à courir mais elle trébucha sur la poire que Tzahuanittzin avait fait tomber peut auparavant. Elle tomba la tête la première et elle ne bougea plus. Cette fois l'iguane ne surina pas, mais il commença à manger la chevelure de l'élève sous les yeux horrifiées du maître . Puis finalement elle prit la première chose qui lui viens sous la main avec l'intention de le lancer au monstre mais cette chose était une peau de banane! Et en plus de tout elle manqua son but! La peu de banane viens s'aplatir comme une crêpe sur la tête d'Amaya! Mais finalement l'iguane finit pas s'en aller pour de bon. Et elle n'est pas prête de revenir...

Finalement Tzahuanittzin se rendit compte qu'il n'y avait plus de monstre et elle arrêta son spectacle et descendit de la table d'un pas hésitant. Puis courut vers l'élève pour voir si elle n'avait rien. Elle n'avait qu'une peau de banane sur la tête et quelques touffes de cheveux en moins...

-Tout va bien? L'animal est partit.

Amaya ne répondit pas tout de suite car elle était évanouit. Elle se réveilla lentement puis elle regarda autour d’elle pour voir où elle était, elle était un peu sonné. Elle s’assit pour reprendre ses esprits, quand elle vit une flaque rouge sur le carrelage…Du sang, c’était du sang, elle tâta sa tête pour vérifier et sentit une large entaille sur son front. Amaya regarda le professeur, elle avait un balai à la main. Comme Amaya ne se souvenait plus ce qui s’était passé, elle pensa que le coupable était la jeune femme. Mais elle semblait tellement inquiète qu’elle était écarté de tout soupçons.
-Que s’est-il passé ?
La jeune femme ne répondit pas. Elle se contenta de prendre Amaya par la main très fermement, comme si elle craignait qu’elle tombe. Amaya avait perdu beaucoup de sang et elle commençait à délirer. Elle venait de voire passer un lama portant un chapeau quand le professeur lui dit qu’elle devait absolument se rendre à l’infirmerie. A la surprise de la jeune femme, Amaya répondit :
-Mais attendez, je veux dire bonjour au cactus qui est passé devant nous en courant. Vous savez, celui qui porte une barbe.
Tzãhuanittzin pressa le pas. Le cas d’Amaya était plus grave et inquiétant que ce qu’elle pensait.

Tzahuanittzin vit tout d'un coup du sang sur le sol, une grande flaque rouge était formé et elle grandissais. Elle se rendit compte que se sang provenait de la jeune fille. Elle la prit fermement par la main de peur quelle tombe. Elle n'entendit m'ême pas la question que lui avait posé la jeune fille peut avant. Il fallait absolument quelle aille à l'infirmerie au plus vite.

-Regarde, tu t'es fait une vilaine blessure. Il faut que tu aille à l’infirmerie tout de suite. Je t’accompagne. Aller viens.

Mais la jeune fille commençais à délirer, elle dit même quelle voulait aller voir un cactus avec une barbe. Tzahuanittzin se dirigeât vivement vers l'infirmerie.

->RP à conntinuer à l'infirmerie.