Que font les maîtres pendant les repas?

Ce jour la, Tzahuanittzin alla vers la terrasse pour se détendre. Elle venait des cuisines où elle avait mangé un bon repas. Maintenant, elle voulait un endroit calme, loin des éléves -ils sont trop agités... Elle voulait s'assoir sur un fauteuil et ne rien faire.

Bien évidemment, c'était raté. Des fois on peut penser que les éléves sont ceux qui font le plus de bruit, les plus casse pieds; mais on va le voir dans ce sujet, des fois ce n'est pas le cas!

Itzayana etait allé se balader aux ruelles de Tenochtitlan ce matin. De retour à l’académie, elle décida de faire un arrêt au marché. El acheta quelques fruits dont la cuisine de l’académie n’avait pas. Une fois avec son sac plein elle reprit son chemin. Elle avait parcouru tout son chemin à pied, elle aimait bien marcher. La jeune arriva enfin. Itzayana se souvint qu’elle avait entendu parler d’un leu exclusivement que pour les professeurs. Elle décida de se rendre là. Elle demanda le chemin à une domestique et monta jusqu’à la terrase. Le lieu était vide, aucune âme ne le parcourait. Itzayana laissa son sac sur un fauteuil et s’approcha à la rambarde. Elle s’y appuya. Elle ferma ses yeux couleur d’or un moment. Le vent se plantait sur son visage. Soudain elle entendit des pas. Les yeux d’Itzayana s’ouvrirent et sa tête se retourna. Une jeune femme blonde venait de rentrer, elle la reconnu . Itzayana marcha ver elle avec un sourire.

-Salut ! C’est toi la professeur des cuisines, non ?

En ce moment un nouveau venu apparut.

Tzahuanittzin entra dans la salle des professeurs. Elle trouva la salle vite.
Elle allait s’asseoir quand quelqu'un lui parla:

-Salut ! C’est toi la professeur des cuisines, non ?

Elle se retourna et ce ne fut qu'a ce moment là qu'elle aperçut l'autre femme. Elle comprit pourquoi elle ne l'avait pas vue: la fenêtre était derrière elle et on y voyait la végétation luxuriante... et elle était habillée en vert.

Tzahuanittzin fut choqué qu'on la prenne pour une simple cuisinière. Elle s'apprêtait à répondre sèchement que non quand quelqu'un entra. Furieuse, elle se retourna. Fort heureusement, cette personne ne lui laissa pas le temps de répondre, sinon des mots qu'il vaut mieux ne pas répéter ici aurait été prononcées...