Sa nouvelle vie commence

Cozamalotl se dirigeait vers le bureau de Chipili. Mais les couloirs étaient comme des labyrinthe! En plus, il y avait pleins de portes de tout les côtés. Quelle est la porte correcte? se demandait Cozamalotl. Elle choisit une porte par son intuition, toqua trois fois, elle attendit quelque seconde et entre ouvra la porte en passant sa tête inquiète pour vérifier de se n'être pas trompé. Et non, elle ne s'était pas trompée. Dès qu'elle vu un vieux monsieur assis derrière un grand bureau, elle se dit tout de suite que c'était le célèbre Chipili. Alors, elle décida d'entrer et de s'approcher du grand bureau. C'est alors que toute timide, elle prit son courage à deux mains et dit:
-Bonjour, je suis Cozamalotl Izel et je suis venus pour m'inscrire dans votre académie, dit-elle timide sans pouvoir s'empêcher de tortiller les manches de son pull.
Elle espérait plus que tout qu'on l'accepte! Cette horrible idée de devoir retourner chez elle et être de nouveau mise à part là déprimait. Mais pourquoi je suis inquiète? Je ne vois pas pourquoi il ne m'accepterait pas puisque qu'il n'y a presque personne en ce moment dans l'académie. Je devrais arrêter de m'inquiéter et lui faire bonne impression. Voilà tout se qui se passais dans la tête de cette jeune fille.

Elle marchait en réfléchissant: Comment y suije arrivé? Depuis des années j’attends ce moment et maintenant je suis découragé, je vais tout abandonner, non vaut mieux pas, c'est difficile mais il faut l'affronter et je le ferais! Pour sur! Je vais aller dés maintenant m'inscrire, et parler à Chipili et d'ailleurs comment est-il? Gentil? Méchant? Joyeux? Triste? Bougon comme on le dit? Comment est son bureau? Rangé ou dérangé? J'ai hâte de savoir. Mais j'ai toujours peur, voudrait-il de moi ou vaige terminer comme domestique? Il l'a déjà fait. Il en est capable. Ce qui ne serait pas si gênant qu'être domestique se serait d'être gardienne de clés. Je m'en rappelle quand j’étais petite on avait toujours peur quand il arrivait mais après tout c'était rigolo! Ah! De bons souvenirs! Je m'en rappelle que le directeur n'était pas très rigolo lui. Mais bon, j'ai tourné la page et il faut que je me concentre sur ce que je vais dire à Chipili: « Bonjour Monsieur, je veux être professeur dans cette académie. » Non, c’était trop simple et formel. Vaux mieux quelque chose comme : « Excuser- moi, mais je veux vous parler. Je voudrais être professeur de l’eau. » Oui, c’était mieux. Voici la porte du directeur, elle frappa et on ne lui répondit pas. Elle crut entendre un entrez et elle entrât, le bureau était dans un état quelle ne se serait jamais imaginé. Des papiers partout, des feuilles, des stylos et beaucoup plus! Mais il y avait aussi une jeune fille au chevaux chatins qui était la, debout. Chipili parut déconcerté: elle était rentré en pleine discusion! Elle devien tout d'un coup coloré mais elle réucit tout de même à dire: "heu... pardon, je crus avoir ... entendut entrez... ecuser moi...Je ne voulait pas... Pardon..."Elle s'apraitait à patir quand Chipili prit la parole.

Chipili venait de finir de trier les parchemins qu'Ayili Tonantzin, le maître acrobate devenue domestique, avait mis en désordre. Il fut satisfait de lui-même et laissa échapper un soupir de soulagement. Il savait bien qu'il allait recevoir d'ici peu de nouveaux élèves et professeurs et il voulait préparer les entretiens, en bon directeur. Il avait alors prit soin de sortir les parchemins de ceux qu'il pensait recevoir dans la journée :

Voyons voir... Tout d'abord, il y a Popotlan, qui tarde à venir. Espérons qu'il ne se soit pas perdu, ce grand-là!... J'ai hâte de le voir... Une personne aussi grande a forcément un pouvoir en lui qu'il ignore, voilà tout... Ensuite il y a Cozamalotl, celle qui ne sait pas nager... Oui, oui... Il faudrait commencer par lui apprendre, on ne sait jamais ce qui peut se passer !.... Je la mettrai chez les Michin pour commencer... Avec ses grandes mains, il lui sera facile d'apprendre à nager! Et puis il y a cette mystérieuse personne... Il eut du mal à lire son prénom : Tza... Tza hou wa .... Non... Tzahuanizin... Non, non.... Décidément, sa vue commençait à baisser ! Tzahuanittzin... oui, c'est ça, Tzahuanittzin. Bon, pour commencer, il faudrait retenir ce prénom assez complexe... J'aurais l'air de quoi si je n'arrive pas à l'appeler quand elle sera face à moi... Une andouille, une fois de plus... Il regarda avec attention la fiche de cette personne au prénom compliqué et il réalisa que quelque chose n'était pas clair: Elle écrit qu'elle est élève... mais elle a 22 ans... enfin, comment est-ce possible?.... Il réfléchit quelques instants et il crut trouver une réponse: Elle doit être TRES en retard, et a certainement des déficiences intellectuelles... Pauvre petite... Je prendrai donc garde de bien la recevoir parce que....

On toqua à la porte. Trois petits coups rapides et vigoureux qui firent sursauter Chipili. Il n'eut pas même le temps de répondre que la porte s'ouvrit et une jeune adolescente au visage angélique entra et referma la porte derrière elle. Elle semblait inquiète et tortillait frénétiquement son pull. Elle prononça une phrase incompréhensible. Et oui, il arrive bien souvent que l'émotion nous empêche de bien prononcer. Demandez au pauvre Charles Bovary ! Cela agaça Chipili :

- Bon, je n'ai rien compris. Absolument rien. Est-ce que je pourrai te demander de .....

Il fut alors interrompu brusquement : une jeune femme entra dans son bureau brutalement. Elle lança un regard méprisant en observant son bureau, puis, quand elle se rendit compte de son impolitesse, elle sembla interloquée et bredouilla quelques mots d'excuses. Chipili était décontenancé. Il devina alors à qui il avait affaire et il s'appliqua à bien prononcer ce qu'il allait lui dire au cas où son hypothétique déficience intellectuelle ne lui permette pas de bien entendre :

- BON-JOUR MA-DE-MOI-SELLE ! JE SU-PPOSE QUE TU ES... - Il tenta de se souvenir du prénom... QUE TU ES... Il fit tout ce qu'il put pour se souvenir... et le seul souvenir qui lui vint : ... LA PE-TI-TE SI-RE-NE DE L'O-CE-AN ? C'EST BIEN TOI?

Elle entendit cette voie et elle se retourna. Chipili avait tu mal à se rapeler de son nom. Elle eu un petit rire: c'etait toujour commen ca! puis il réusit à l'appeller par son surnom de petite fille. "la petite sirene de l'océan", ce simple nom la fit rougir d'aventage, sirtout que ca futur élève était présente! Quelle humillation! Mais pour prendre l'aifaire en main et sauver la situation elle dit:Je suis Tzahuanitzin, mais comme je m'en rend compte, ici on n'a pas une asser bonne mémoire pour s'en rappeller... Mais bon. Je croi que cette élève va être à moi? Comment s'appelle t'elle? Je ne sais plus mais bon ca n'a pas d'importance. Quand je commence à faire cour? Demain si ca vous arange. Et pour le salaire on en parlera après. Je croi que c'est tout. Quelqu'un à-t-il quelque chose à dire?Avec ce petit discour elle avait dominé la situation.

Chipili était désappointé : il s'était complètement trompé sur cette jeune femme au prénom immémorable. Elle n'avait aucun retard mental, bien au contraire, mais elle avait une prétention insupportable. Il avait certainement eu l'air idiot en s'adressant à elle comme à une demeurée. Et dire qu'il avait pris le temps d'étudier les parchemins pour bien recevoir ses élèves et ses professeurs. Voilà qu'il avait eu tout faux. Et ce petit sourire de fierté qu'elle affichait horripila notre directeur. Quelle audace ! C'était intolérable ! Il devait se mordre la lèvre supérieure afin de ne pas dire de méchanceté. Il aurait envie de la renvoyer sur le champ et de ne pas l'accepter. Mais il savait que son académie avait besoin de maîtres pour faire venir les élèves. Et surtout d'un maître de l'eau !

- Certes, on manque un peu de mémoire, mademoiselle la sirène Tzamachintruc, mais on moins, ici, on ne manque pas de modestie ! Ne soyez donc pas si pressée. Avant de vous embaucher, j'ai à parler avec vous. Et à vous mettre à l'épreuve...

Il rit à pleine dents, d'un rire cynique et glacial. Il se tourna ensuite vers l'adolescente, qui avait assisté à toute la scène, apeurée :

- Et toi, qui es-tu? Tu étais en train de te présenter lorsqu'on a été dérangés? Je n'ai pas compris ton nom. Comment t'appelles-tu et pourquoi es-tu là?

Tzahuanitzin écoutat le directeur. Elle dut se retenir de lui dire qu'il arrete de l'insulter en changean son nom par des sotises comme tzamanchintruc et son nom n'est pas si dificile: Tzahuanitzin, cetes il était plus complexe que Tochtli mais pas telemnt!Et en plus quand il parla de la mètre à l'épreuve il se mit à rire de toutes ses forces, quel rire glacial et insuportable. C'était une ofance à sa dignité. Quelle horeur! Non, définitivement toutes ses peures partirent d'un seul coup. Elle avait envie de lui crier mais elle se retien. Et avec cette petite fille qui c'était mis dans un coing l'afaire était plus délicate: tout ce quelle disait elle alait le raporter à ses camarades et sa réputation serait faite: sévaire qui crie et qui n'est pas gentille!

-Je ne suis pas Tzamanchintruc mais Tzahuanitzin. Si vous douter de moi comme je m'en rend compte... Je veut bien accepter l'épreuve mais il faut que ce soit maintenan car je n'ai pas beaucoup de temp. Si je vous dérange je m'en vais dans une autre académie mais je vous asure qu'il n'y a pas deux comme moi.

Elle atendit la réponce mais ce quelle entendit ne fut pas ce quelle atendait mais le contraire!

Chipili ferma les yeux et entra dans une respiration longue et profonde. Il était hors de question de s'énerver maintenant : il était vrai que Tzahuanittzin (il avait enfin mémorisé son nom) avait coupé la parole à l'élève qui avait en vain essayé de répondre à sa question, mais il fallait à tout prix garder son calme. Il sentait qu'il devait se contrôler pour ne pas dire des paroles qu'il allait ensuite regretter. Il avait appris à maîtriser ses émotions par la pratique de la méditation. Je vais devoir l'ignorer quelques minutes, voilà tout, juste le temps d'accueillir comme il se doit cette élève qui semble apeurée. Il fit fi du maître de l'eau et se tourna alors vers l'élève :

- Je t'écoute, demoiselle, quel est ton nom, s'il te plaît?

Tzahuanitzin entendit enfin une réponse mais elle était dirigée vers la demoiselle. Elle avait envie d'exploser mais elle arrivât à se retenir. Tout de même, m'ignorer, quelle mauvaise éducation! Mais il ne faut pas que je sois renvoyé. Non, ce serait la pire bêtise de ma vie. Mais je ne peux pas le laisser faire et lui démontrer quelle n'était qu'une peureuse, non il faut faire quelque chose mais sans se faire renvoyer. Et avec cette petite qui entendait tout et qui avait l'ai de s'amuser! Il fallait quelle sorte, voila quelle sorte se serait la solution! Mais comment? ... En la faisant parler pour quelle finisse et quelle s'en aille! Très simple mais fallait y penser! Bon passons à l'action! Aussitôt dit aussitôt fait! Et elle dit:
- C'est sa mademoiselle quelle est votre nom? Vite parler vite et fort pour que vous puiser partir! Cela doit vous ennuyer terriblement!

Durant toute la discussion entre Tzahuanittzin et Chipili, on ne voyait que la tête de Cozamalotl passant d'une tête à l'autre. Cozamalotl ne savant que faire devant toute cette agitation, elle recula peu à peu arrivent presque jusqu'au mur. Elle fut arrêté par une pile de papier.
Quand ils commencèrent à lui adressé la parole, elle commença à devenir toute rouge. Mais c'est alors que Tzahuanittzin avait commencé à la motivé, ce qui la fit devenir encore plus nerveuse. Ne savant que faire elle stressa et dit ou plutôt cria:
-Cozamalotl Izel!! C'est...c'est mon prénom et mon nom, s'exclama-t-elle. J'ai 16 ans et je maîtrise un peu le vent, je suis venu étudier dans votre académie, dit-elle se dirigent vers Chipili.
Les manches de son pull était devenues toutes chiffonnées à cause de son stresse et de sa timidité. Je suis vraiment désolé d'avoir crier, je ne voulais pas leur cassé les tympans se disait Cozamalotl.

Cozamalotl, Cozamalolt... oui, il se souvenait très bien de la fiche de cette jeune fille. "L'unique arc en ciel", la poésie de ce prénom ne lui avait pas échappé. Effectivement, elle s'était présentée comme timide, elle voyait juste sur son caractère et sa fiche semblait retranscrire la vérité. Il fut surpris néanmoins par les yeux de le demoiselle : le vert profond ne passait pas inaperçu, loin de là, il le distinguait parfaitement !

- Bienvenue, chère Cozamalotl, tu vas te plaire à Chipili Académie, je n'en doute pas. Mais, avant de t'accepter définitivement, je vais devoir te mettre à l'épreuve, c'est la règle en vigueur ici.

Il eut soudainement un petit sourire vicieux au coin des lèvres: il avait trouvé une idée! Il reprit son discours:

- Si je me souviens bien, tu ne sais pas nager, c'est regrettable. Et dangereux! Et justement, nous avons ici un maître de l'eau qui se présente comme unique et compétente.


Il regarda alors Tzahuanittzin en biais et lui adressa un regard complice.

- Vos mises à l'épreuve sont décidées !


Il s'adressa tout d'abord à sa collègue :Vous, maître de l'eau, vous allez devoir apprendre à cette petite à nager. Vous ne serez embauchée que si vous y parvenez. Puis il se tourna vers son élève: Et vous, Cozamalotl, tu vas travailler sérieusement et montrer que tu es capable de progresser... et de gérer ton stress!


Il observa les réactions des deux femmes. Il était difficile de savoir ce qu'elles pensaient de cette épreuve.Tzahuanittzin le fixait avec fierté. Il était certain qu'elle ne doutait pas de son succès. Quant à Cozamalotl,elle continuait à malaxer frénétiquement son pull, qui allait bientôt perdre toute ses formes.

- Vous pouvez vous installer dans l'académie. Vous, Tzahuanittzin, je vous ai préparé des appartements au troisième niveau de l'aile de la lune. Et toi, Cozamalotl, dans les dortoirs des Quetzal, puisque c'est là que vous seriez intégrée. Vous pourrez vous exercez là où vous voulez. L'académie possède un petit lac dans ses alentours. Allez-y sans problème. Par contre, je vous déconseille Texcoco, à moins que vous aimiez les crocodiles. Il rit de sa plaisanterie, tout seul. Et revenez me voir quand la mission est remplie.

Puis il ajouta :

- Je vous donne deux jours. Pas une heure de plus !

Quelle idée ? Elle devrait apprendre à cette jeune fille à nager ! Mais elle était l’air et l’eau et l’air ce n’était pas pareille ! Très différent même ! Mais bon, elle ne devait pas perdre de dignité. Mais au contraire, avoir toute la dignité que possible. Cette Cozamalotl se stressait trop, pour nager ce serait difficile : elle allait couler tout de suite c’est sur. Tzahuanitzin devrait régler se problème avant tout et c’est ce quelle alait faire dés le premier jour.
-Très bien ci telle est votre épreuve, je la passerais avec facilité. Bon je reviendrais vous prévenir quand je lui aurais appris à nager. À bientôt.

Et elle partit en claquand la porte dérière elle.

Cozamalotl se surpris de cette inquiétante épreuve: pouvoir nager. Elle n'avait jamais mis le pied dans l'eau sauf pour se doucher ou prendre un bain bien sûre. Mais si cela devait être la condition pour entrer définitivement dans l'académie, alors elle ne baissera pas les bras! A moitié motivé à moitié inquiète elle dit:
-D'accord! Je veux bien si cela est la condition d’admission dans votre académie, répondit-elle à Chipili.
Dès qu'elle eu finis de répondre, elle reprit son chemin dans le labyrinthe perdu dans ses pensés. Par contre elle ne clapa pas la porte.



-> RP TERMINÉ