Euhh... Petit inconvénient. [PV Cuauhcihuatl et Xolotl ]

Iztacoyotl sortait de la Salle d'eau avec une serviette autour de sa ceinture, il venait de prendre sa douche, il avait une salle de bain dans sa chambre, mais il n’y avait plus d’eau et Iztacoyotl n’avait pas envie d’aller chercher de l’eau, donc il se doucha dans cette grande salle mais il avait perdu ses vêtements, oui… il avait perdu ses vêtements… il ne savait pas comment mais il n’arrivât pas à les retrouver, Et maintenant il devait trouver un moyen aller de la salle de bain jusqu’à sa chambre sans que personne ne le voit. Apres avoir considérer ses options, il décida de sortir de la salle et de courir vers sa chambre et avec un peu de chances, personne ne le verra. Iztacoyotl sortit de la salle d’eau et courut vers la fin du couloir mais avant de parvenir à quitter le couloir, quelque chose le prit par le pied et le fit tomber. Quand il se retourna, ses yeux s’ouvrirent avec surprise.

Xolotl marchait dans les couloirs, il pensait que peut être ils étaient très sombres, très simples peut être ils avaient besoin de se peindre, alors quand il se dirigeât vers sa chambre a nouveau… mais soudain, il entendit quelqu’un s’approcher, vexe il recula lentement, mais il entendit la personne qui venait vers lui tomber. Curieux Il s’approchât cauteleusement, quand il vit Iztacoyotl, planché dans le sol, poitrine vers le bas, nue… oui… nue. Xolotl regardât le toit avec un soupir énerve. « P-pourquoi ce genre de chose ne m'arrive qu’à moi?! Pourquoi dieu ? Pourquoi moi?... »

- bien… - dit il en esquivant Iztacoyotl, regardant toujours le toi – je vais rester calme et je vais prétende que je ne le connais pas… il est imaginaire, oui c’est ça… il est un exhibitionniste imaginaire…

Et sans savoir si rire ou pleurer d’honte, il éclata de rire.

Iztacoyotl voulait mourir de honte, il ne pouvait pas croire qu’il se trouvait là, au milieu du couloir, nu, devant Xolotl. Oui, il avait honte, mais aussi il était fâché, car il savait qu’il n’avait pas tombé tout seul, quelqu’un avait causé sa chute et puisque Xolotl était là, devant lui, Iztacoyotl pensa que Xolotl était le responsable. Furieux il se leva, en oubliant qu’il était nu et lui cria sur la figure :

-TOI !!!! Qu’est-ce que tu fais ici ?!?!? T’est le coupable de tout !, puis il se rendit compte de sa nudité et rougit violement, WAAAAAA…

Il donna le dos à Xolotl pour chercher sa serviette, mais il ne la trouva pas, il se retourna en essayant de cacher sa figure avec ses bras et ce qui vit le fit pâlir…

Xolotl éclata de rire encore plus au point de ne pouvoir presque plus parler.
- hahaha ah tu est si mignon... haha - il regardat derriere lui, la il était une servillette dans le sol, mais Xolotl ne voulait pas arréter ce divertisement, pas encore il voulait encore l'émbêter. - bien monsieur vous aviez une façon assez particuliére d'éxprimer votre parvercité... vous pourait me détester mais vous ne pouvait pas me dire de partir car -il prit la servillete. - c'est moi le seul qui peut vous sauver, ha!
Et il continua a rire, heuresement qu'ils étaient seuls...

Iztacoyotl ne pouvait pas croire sa situation, il attendait encore se réveiller pour pouvoir rigoler de toute cette situation. Mais même s’il attendit un log moment, il ne se réveillait pas, donc il essaya de prendre la serviette qui était entre les mains de Xolotl. Mais puisqu’il était encore mouillé, ses pieds glissèrent et Iztacoyotl tomba sur Xolotl. Il rougit au point de ressembler à une tomate :

-euhhh… est-ce que tu peux me donner ma serviette ?, lui dit Iztacoyotl avec une voix très agitée.

Xolotl ne povait pas eviter marquer un grand sourire sur son visage, c'était si gracieu.

Iztacoyotl tomba sur Xolotl. Xolotl le prit vitement avant de tomber les deux dans le sol.

-euhhh… est-ce que tu peux me donner ma serviette ?, lui dit Iztacoyotl avec une voix très agitée.

Iztacoyotl se trouvait entre ses bras, nu... oui c'était hors de question qu'il lui redonnerait sa servillette, quand il s'appercut que la servillette était bien, trop loin des deux.

- Iztacoyotl... tu va me tuer... mais... la servillette est trop loin soit tu te sépare et... tu... essaie de couvrire tes bijoux ou bien... ne te sépare pas de moi et ont atend à trouver une solution peut étre quelqu'un arrive et nous aide - je crois pas- ou quelque chose, même si notre situation maintenant... oui... peut se malinerpréter...

Il éclatât de rire encore une foi.

Iztacoyotl ne pouvait être plus rouge, il ne savait plus quoi faire, il était désesperé. Il se leva et alla chercher sa serviette, l'attacha autour de sa ceinture et sans se retourner pour voir Xolotl, il prononca il tout petit et presque incomprehensible "Excuse-moi" et marcha rapidement vers la fin du couloir pour pouvoir aller dans sa chambre. Il marchait rapidement en regardant le sol, il voulait juste oublier tout et si possible, ne plus renconter personne mais apparement l'univers êtait contre lui car juste quand il allait tourner pour partir, quelq'un arriva en courant et l'écrasa. Heuresement cette fois il n'était pas tombé.

Cuauhcihuatl voulait montrer à Chipili comment le quetzal allait de mieux en mieux. Cuauhcihuatl considérait que c’était l’œuvre de Citlaltlachtli. Sans son aide elle n’aurait pas su quoi faire. Peut-être elle aurait fini par tuer le quetzal… Elle décida de ne pas penser ça.

Cuauhcihuatl allait donc vers le bureau de Chipili. Elle sortit de la salle commune des Quetzals et descendu les escaliers pour arriver au deuxième niveau. Elle parcourait le couloir du bureau de Chipili quand le quetzal, qui voyageait sur son épaule s’envola vers autre direction.

-Attend !, lui cria Cuauhcihuatl avec sa petite voix.

Heureusement que le quetzal ne volait pas encore très haut ni pour trop de temps. Cuauhcihuatl suivit l’oiseau de couleurs en courant. Elle ne savait pas vers où la conduisait l’animal, peut-être que lui non plus. En courant, les yeux de la fille suivaient le quetzal, celui-ci volait très proche du plafond. Elle continua à courir quand soudain quelque chose arrêta sa course. Elle s’était écrasé avec quelque chose… heureusement pas avec quelque chose de dur car si non son nez aurait subi les conséquences ! Quand elle avait senti qu’elle cognait quelque chose, Cuauhcihuatl avait mis instinctivement les mains devant et aussi ferma les yeux.

Ses mains touchaient quelque chose de chaux, lisse et un peux doux… Cuauhcihuatl ouvrit les yeux et avec horreur elle se rendu compte qu’elle touchait de la peau humaine, le torse d’un homme. Cuauhcihuatl, pâle, haussa la vue, ses yeux gris grands ouverts, elle se rencontra face à face avec Iztacoyotl, le maître de combat ! Elle se rendu compte qu’il était vêtu qu’avec une servillete. Cuauhcihuatl fit un petit pas en arrière, un peureuse et surprise, par une raison cette homme lui faisait peur. Mais en ce moment il avait un air surpris, confus… Cuauhcihuatl fit un autre pas en arrière. Elle ouvrit la bouche pour dire pardon mais aucun mot ne sortit. Elle n’y réussit pas.

Xolotl courût après Iztacoyotl.
- Allez ne vous fâchiez pas princesse, je voulais juste rigoler... - c'est alors qu'il vit Cuauhcihuatl collé à Iztacoyotl. Ce qui était bizarre et a la fois gracieux était l'expression de Cuauhcihualt, elle avait un semblant peureux et timide comme d'habitude, mais cette fois si, elle avait un regard... émerveillé? Distrait?
Xolotl se rapprochât en se demandant pourquoi. C'est alors qu'il compris l'évident.
Il ne put pas se contenir à éclater de rire a nouveau, mais il gardât ces rires en se fermant la bouche avec les mains.

- Et alors Monsieur, cette attitude? - dit il en se penchant sur Iztacoyotl - Mettez vous des habilles! Quelque chose! , ne voyiez vous pas les "effets secondaires" que vous causiez au demoiselles? Avec vos "attributs"? - il signalât avec les mains son corps et un petit sourire narquois, (et "sexy"... pourquoi pas? )

Xolotl fut content, il aimait embêter Iztacoyotl, après tout il jouer tout simplement et à la fois obtenait sa petite et innocente vengeance.

Un fou rire fit sursauter Cuauhcihuatl. Xolotl était là, à quelques pas. Cuauhcihuatl fit encore quelques pas en arrière en s’éloignant d’Iztacoyotl… Xolotl couvrit sa bouche avec ses mains pour contenir son rire. Vraiment, elle ne pouvait pas croire sa mauvaise chance ! Elle s’oublia complètement du quetzal. Les paroles de Xoltol la firent rougir. Cuahcihuatl couvrit son vissage aves ses mains brièvement. Xolotl semblait très content et plus amusé que jamais ! Cuauhcihuatl ne savait pas quoi dire, elle commença à se frotter les mains, nerveuse. Elle jeta un coup d’œil au maître de combat, puis a Xolotl, ensuite elle dirigea sa vue vers le sol, elle regarda ses pieds.

-Je…je… Pardon !

Au moins elle avait réussi à s’excuser !

Iztacoyotl ne pouvait pas croire sa mauvaise chance, tout d’abord à cause de Xolotl il n’avait plus de serviette et puis Cuauhcihuatl était collée à lui, et elle avait pris plus de temps que nécessaire pour se séparer de son torse. Iztacoyotl se sentait très gêné, il n’aimait pas que les gens le voient nu, ou presque nu, et Xolotl réussit à le faire sentir encore plus gêné avec son commentaire, il savait que Xolotl ne lui avait pas dit cela pour le gêner mais ça ne lui avait pas plu. Il essaya de se couvrir avec ses mains même s’il savait que cela ne fonctionnerait point. Tout d’un coup, Iztacoyotl aperçu un petit oiseau aux plumes vertes qui était collé au plafond, cet oiseau appartenait à Cuauhcihuatl, Iztacoyotl créa une petite boulle d’air pour prendre l’oiseau et le descendit pour le donner à Cuauhcihuatl. Une fois que la petite fille prit l’oiseau entre ses mains, Iztacoyotl s’éloigna d’elle et de Xolotl et essaya à nouveau de se couvrir avec ses bras.

Cuauhcihuatl ressut le quetzal, au moins, maintenant qu’elle l’avait , elle pourrait s’éloigner et partir de là. Il le prit tendrement dans ses bras. Iztacoyotl s’éloigna de quelques pas. Il avait l’air vraiment gêné, il se couvrait avec ses bras. Encore empourprée, Cuauhcihuatl fit un revérence envers Iztacoyotl :

-Merci, dit-elle d’une toute petite voix, après tout c’était lui qui avait réussit à attraper le quetzal.

La fille se redressa et , nerveuse, jeta un coup d’œil à Xolotl. Elle voulait sortir de là, retourner le plus vite possible au dortoir des Quetzals et rester là tout le reste de la journée, même toute la semaine, et ne plus retourner au cours de combat. Cuauhcihuatl fit quelques pas en arrière, elle se cogna doucement avec Xolotl. La fille seulement haussa la vue, le visage du jeune homme semblait éblouir. Cuauhcihuatl s’éloigna, elle était prête à sortir en courant quand le quetzal reconnut Xolotl. L’animal laissa les bras de la fille et vola jusqu’à Xolotl et se posa sur sa tête.